Le couple Balkany sait se faire remarquer.
Sa carrière politique est jalonnée de petites phrases plus ou moins bien senties.
Patrick Balkany n'est d'ailleurs pas le dernier à faire des déclarations fracassantes.
http://www.francetvinfo.fr a sélectionné neuf citations marquantes que je partage aujourd'hui sur mon Blog :
"Je n'y suis pour rien si j'allais en Rolls à l'école !"
Le dimanche 16 août 2015, Isabelle Balkany se défend dans le "JDD" des accusations qui pèsent sur son couple.
"Le Petit Journal et Complément d'enquête, si vous savez ce que j'en ai à foutre... Comme les Français : rien."
En avril 2015, Patrick Balkany pique une grosse colère contre les médias, qui enquêtent sur son train de vie, lors d'un conseil municipal à Levallois-Perret.
"Levallois, c'est moi."
En décembre 2013, attaqué par une opposante socialiste lors d'un conseil municipal, Patrick Balkany se défend et clame haut et fort : "Levallois, c'est moi !"
"Je suis l'homme le plus honnête du monde"
Cette petite phrase, sur les poursuites judiciaires engagées à son encontre, sera nommée pour le prix de l'humour politique en 2010. Patrick Balkany renouvelle sa déclaration en septembre 2013 sur le plateau de l'émission "Salut les Terriens" sur Canal+.
"C'est plutôt flatteur, de passer après Bardot."
Le 6 avril 2010, Isabelle Balkany réagit à la supposée relation de son mari avec Brigitte Bardot dans une interview donnée au "JDD".
"Nous débutons aujourd'hui l'examen d'un texte d'une importance capitale, la preuve je suis là"
Lors d'un discours prononcé en 2009, Patrick Balkany se serait amusé de son absentéisme chronique à l'Assemblée nationale.
"Ministre, ah sûrement pas ! On n'a pas envie de devenir les Toutankhamon de la politique !"
Isabelle Balkany précise en février 2010 que son mari ne souhaite pas devenir ministre. Une déclaration qui fait suite aux critiques émises le 17 février par Patrick Balkany à l'encontre de la ministre de l'Outre-mer de l'époque, Marie-Luce Penchard, qui devrait selon lui être "virée du gouvernement".
"On a tous été des Pasqua's boys !"
Patrick Balkany fait cette déclaration en 2009 lors d'une réunion du mouvement national des élus locaux (MNEL). "Charles Pasqua est l'homme qui m'a poussé à faire de la politique, qui m'a poussé à aller conquérir Levallois, qui était son fief", a précisé sur BFMTV le maire (Les Républicains) à la mort de l'ancien ministre de l'Intérieur, en juin 2015.
"Il n'y a pas ce que vous appelez les pauvres. (...) Il y a bien quelques SDF qui eux ont choisi de vivre en marge de la société."
En 2005, Patrick Balkany est piégé par les Yes Men, des altermondialistes spécialisés dans le détournement. Le maire croyait s'exprimer sur une télévision américaine.
J'en profite pour en rajouter une 10ème : Pour Isabelle Balkany, chercher à lui nuire, c'est vouloir "atteindre Sarkozy".