Fête nationale depuis 1880, le 14 juillet commémore la prise de la Bastille de 1789.
La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris. Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les Etats généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état.
Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante. L'initiative inquiète le roi (Louis XVI) qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes".
Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre. Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure.
Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté.
source : http://www.linternaute.com
Je reproduis ci-dessous un appel de solidarité avec le peuple grec lancé par des élus et de responsables de formations de la gauche du département de la Loire-Atlantique puis de la Normandie. J’en suis naturellement signataire. Il faut multiplier les initiatives de ce type. Nous ne devons pas laisser le peuple grec seul face aux « institutions » de l’Eurogroupe.
« La place de la France est aux côtés du peuple grec et de son gouvernement»
La crise grecque s'exacerbe de façon alarmante. Chaque jour qui passe peut, soit nous rapprocher d'un accord utile à toute l'Europe, soit d'une rupture dont personne ne peut prévoir les conséquences.
L'intransigeance des principaux dirigeants européens comme de l'Eurogroup et la décision de la BCE de couper les liquidités aux banques grecques peuvent nous conduire au bord de l'abîme. Il est aussi vital que pressant de sortir de ce piège. Le moment est crucial. La responsabilité de chaque acteur concerné est directement engagée.
Il serait sordide -et au demeurant parfaitement vain- d'escompter une capitulation du gouvernement grec. La fidélité de celui-ci au mandat que lui a confié son peuple n'est pas un défaut mais un exemple à suivre.
S'il refuse la compromission, il s'est, en revanche, montré prêt au compromis. Une solution à la fois digne et réaliste est donc à portée de la main.
Le moment ultime est venu pour la concrétiser.
C'est dans ce contexte que nous lançons un appel solennel : la France ne peut, dans un tel moment, apparaître inerte sinon suiviste des puissants. Son message ne peut se réduire à un rappel docile des "règles" à respecter quand la maison brûle. D'autant que ces règles sont aujourd'hui massivement récusées par les peuples et reconnues contre-productives par nombre de leurs anciens protagonistes eux-mêmes.
Aujourd'hui, alors que la crise de confiance entre les citoyens et les institutions européennes est à son comble, c'est en se montrant capable d'entendre l'exigence de justice, de dignité et de souveraineté d'un peuple debout qu'un pays comme le nôtre sert la cause européenne bien comprise.
A l'inverse, qui humilie la Grèce obère l'avenir de la construction européenne. Car le refus de l'austérité et l'aspiration démocratique sont aujourd'hui en Europe les attentes les plus partagées.
C'est pourquoi nous attendons que François Hollande prenne une initiative politique de nature à rouvrir les négociations entre l'"Eurogroup" et les autorités grecques pour les débloquer.
L'acte urgent est de refuser de participer au chantage financier et à la stratégie d'isolement de la Grèce.
Les autorités grecques doivent être soutenues, elles s'attaquent à la crise humanitaire en Grèce, et engagent enfin la lutte contre l'évasion fiscale.
Voilà la solidarité qui devrait mobiliser le gouvernement français au contraire de celle qui le lie aux exigences insoutenables de l'Eurogroup, qui a réagi par la rupture unilatéral du dialogue à l'annonce du referendum organisé en Grèce pour convoquer la souveraineté populaire dans une situation de grande tension qui engage l'avenir du pays et de l'Europe.
Cette situation est sans précédent dans l'Union européenne. La France doit prendre la place qui est la sienne dans l'Histoire, celle-ci est aux côtés du peuple grec et de son gouvernement.
Nous appelons les élu(e)s et les citoyen(nes) attachés aux valeurs démocratiques à se mobiliser avec les Grecs.
Cet appel est ouvert à la signature de tous, élus et militants.
signatures à renvoyer à mathias.ader@neuf.fr
avec mention éventuelle de vos mandats et/ou engagements partisans
A lire aussi dans Libération : http://www.liberation.fr/politiques/2015/06/18/la-place-de-la-france-est-aux-cotes-du-peuple-grec_1332501
«Nul ne peut être exclu du don de sang en raison de son orientation sexuelle».
Cet amendement au projet de loi santé a été adopté à l’unanimité par les députés le , ouvrant enfin la possibilité aux hommes homosexuels de donner leur sang, après trente ans d’interdiction.
Il est désormais inscrit dans la loi qu’on ne peut pas exclure un groupe entier de population, en l’occurrence les hommes homosexuels, du don du sang sur le seul critère de leur orientation sexuelle.
Cette décision met fin à une discrimination.
De plus, au moment où le sang manque cruellement dans les établissements de soins français, je ne peux que saluer ce vote.
Les 27-28 et 29 Mars 2015 a lieu le 21ème Sidaction.
Il y a 21 ans, en 1994, Pierre Bergé et Line Renaud unissaient leurs forces en créant l'association Ensemble contre le sida devenue aujourd'hui Sidaction.
21 ans de combat sur tous les fronts : recherche, prévention et aides aux malades. 21 ans après, Sidaction est devenue un acteur incontournable de la lutte contre le SIDA.
Les chiffres :
Environ 34 millions de personnes vivent avec le virus du sida (VIH) dans le monde, dont 150.000 en France. Chaque jour le sida tue 5000 personnes.
Grâce aux trithérapies l'infection par le VIH peut être traitée comme une maladie chronique mais il est toujours impossible d'en guérir.
Les donateurs peuvent effectuer leurs promesses de dons par téléphone au 110 (numéro gratuit) ou par SMS en envoyant le mot "DON" au 33.000.
Le site Internet http://www.sidaction.org permet lui, l'enregistrement instantané des dons.
Sida Info Service : 0.800.840.800
NON il n'y a pas de médicament "miracle", ni de vaccin contre le SIDA, utiliser un préservatif est la seule solution pour ne pas attraper cette maladie lors d'un rapport sexuel.
Il y a 70 ans, le 27 janvier 1945, l'Armée soviétique découvrait le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz, en Pologne, qui allait devenir le symbole de la barbarie nazie. 7000 survivants peuplaient alors le camp abandonné par les Allemands.
Environ 1,1 million de personnes ont été exterminées, dont un million de Juifs à Auschwitz.
Eviron 6 millions de personnes ont été victimes de la Shoah.
Durant la seconde guerre mondiale, la barbarie nazi a également massacré des dizaines de milliers de Tziganes, homosexuels, handicapés et opposants.
Primo Levi disait "Celui qui nie la réalité d’Auschwitz est celui-là même qui serait près à recommencer"
Voici la Une du Charlie Hebdo du 14 Janvier 2014.
La caricature signé Luz, représente le prophète comme étant un personnage de paix et de tolérance qui est du côté des victimes.
La fille du dessinateur de "Charlie Hebdo" Georges Wolinski, assassiné mercredi 7 janvier dans l’attentat perpétré dans les locaux du journal satirique, commentait le rassemblement organisé aujourd’hui à Paris en direct sur France 2.
Elle a appelé à "ne pas faire d’amalgame”" entre la religion musulmane et les terroristes, avant de déclarer :
"Je voudrais vraiment qu’on ne vote pas Le Pen après, parce que sinon, [les dessinateurs de 'Charlie Hebdo'] seraient morts pour rien. Ils combattaient les extrêmes, c’est quand même ça ‘Charlie Hebdo’, ils combattaient les religieux, ils combattaient l’extrême droite. (…) Ne tombons pas dans une haine raciste."
source : http://www.lesinrocks.com/
Arnaud MOUILLARD
Educateur Spécialisé.
Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.
Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.
RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr
contact : hern276@yahoo.fr