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22 septembre 2011 4 22 /09 /septembre /2011 04:00

http://photo.lejdd.fr/media/images/politique/aubry-hollande-et-royal/5908457-1-fre-FR/Aubry-Hollande-et-Royal_pics_390.jpg

 

Article de @mononoke62

 

 

En mal d’inspiration ou en panne dans les sondages, nos duettistes se lancent une fois de plus dans une polémique stérile, visant à discréditer Martine Aubry.

Qui n’a pas entendu parler depuis 2 ans du fameux « pacte de Marrakech » ?

François Hollande le dénonçait il y a des mois en parlant d’un « Tout sauf Hollande » qui l’arrangeait bien, le faisant exister.

Ségolène Royal a tenté de s’y raccrocher, le 31 mai 2010 lors de son émission sur France 5.
Et pourtant ils font semblant de le découvrir suite à l’intervention de DSK sur TF1 dimanche, et se lancent dans une nouvelle attaque puérile contre Martine Aubry.

Mais le célèbre duo qui a flingué la campagne de 2007 en mentant sur leur séparation n’est pas à une contradiction près.

Ségolène Royal qui nous joue le couplet de la « vérité vraie » oublie qu’après avoir défendu bec et ongles ses propositions en 2007, elle avouait quelques semaines après sa défaite l’avoir fait sans y croire.

François Hollande oublie que le candidat de substitution des sondages, c’est lui. Et que ses principaux soutiens, dont Monsieur Moscovici, ne se sont rabattus sur lui que par défaut, après la sortie de DSK.

Martine Aubry a été la première à parler de cet accord. Elle a toujours refusé le mot de « pacte », lui trouvant une connotation de complot. Elle a par contre toujours revendiqué cet accord de désistement mutuel entre elle et DSK. Un accord basé sur leur alliance sur la même motion lors du congrès de Reims, regroupant également Bertrand Delanoë et Laurent Fabius.

Un accord maintes fois dénoncé par ses concurrents socialistes, découvert, oublié, relancé en fonction de l’air du temps ...

Le camp Hollande en profite pour relancer sa fameuse idée de « candidate de substitution » : rappelons que cet accord de désistement était réciproque. L’un des deux irait, pas les deux. La décision se ferait en fonction de la situation au moment de la prise de décision. De leur capacité à battre Nicolas Sarkozy, de la situation française et internationale.

DSK voulait y aller, il l’a dit. Mais aurait-il pu le faire en pleine crise de la dette, quand abandonner son poste au FMI en pleine tempête serait revenu à déserter et l’aurait disqualifié aux yeux du monde et des français ?

Martine Aubry également voulait y aller. Pourquoi sinon s’embêter pendant 3 ans à rassembler une famille socialiste déchirée par le congrès de Reims, pourquoi se battre comme elle l’a fait pour construire un projet qu’elle est la mieux à même aujourd’hui à défendre ? Pourquoi aurait-elle laissé des dizaines de députés prendre partie pour elle dès le mois de mars, au sein du groupe Solférino2012, si elle avait renoncé ?

Ils souhaitaient tous deux y aller. DSK s’est mis hors jeu, Martine Aubry s’est lancée.
Elle mène depuis le 28 juin une campagne de terrain et d’idées, soutenue par des milliers de volontaires partout en France qui multiplient les tractages, les porte-à-porte et les réunions publiques.

Elle se bat sur le fond, refusant les polémiques stériles de ses concurrents, allant à la rencontre des français pour leur redonner l’espoir d’une vraie transformation de notre société.

Espérons que les français ne se laisseront pas distraire du vrai enjeu de cette primaire : donner à la France une présidente expérimentée, courageuse, et ayant l’envie et la capacité de vraiment changer la vie.
Martine Aubry était la candidate la mieux plaçée, point final.


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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 07:46

A un internaute de Rue89 qui l'interrogeait sur le cannabis, Martine Aubry a répondu, mercredi 15 septembre, qu'elle était favorable à la dépénalisation de l'usage du cannabis :

« Moi, je suis pour la dépénalisation, et je pense que tant qu'on n'aura pas pénalisé réellement de manière extrêmement forte ceux qui sont dans les trafics, ceux qui s'enrichissent du cannabis, il est difficile de le légaliser.

D'ailleurs, vous avez vu qu'aux Pays-Bas, ils sont en train de revenir sur cela. Donc, dépénalisation, oui, renforcement des sanctions sur les trafiquants, voilà les deux mesures qui me paraissent essentielles aujourd'hui. »

 

Martine Aubry est la seule candidate socialiste aux primaires citoyennes à se positionner en faveur de la dépenalisation du cannabis (Jean-Michel Baylet, le Président du PRG, est pour la légalisation).

 

 

Pour rappel :

L’usage du cannabis s’est aujourd’hui banalisé dans la société française. Selon l’INSEE, en 2005, la France comptait 3.9 millions de consommateurs de drogues douces occasionnels. C’est bien peu aux côtés de 39.4 millions de consommateurs d’alcool occasionnels.

Daniel Vaillant, ancien ministre socialiste du gouvernement Jospin, reconnaissaient en octobre 2009 dans le Parisien, qu’un jeune sur deux consommait du cannabis. Dans cette même interview, le député-maire socialiste du XVIIIe arrondissement évoquait clairement l’intérêt à légaliser la consommation de cannabis. Il a récemment rendu un rapport aux Députés PS préconisant la légalisation de cannabis.

 


 

La différence entre légalisation et dépénalisation :

Les deux termes n’ont pas le même sens. La légalisation signifie que l’usage de drogue est autorisé et que sa production et sa commercialisation sont également permises. La dépénalisation, en revanche, supprime les sanctions pénales (amende et emprisonnement) associées au comportement d’usage sans nécessairement supprimer l’interdit et prévoit éventuellement d’autres formes de sanctions (amendes administratives par exemple).

 

 

 source : http://www.drogues.gouv.fr

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17 septembre 2011 6 17 /09 /septembre /2011 07:39

 

Benoît Hamon,  leader du courant Un Monde d'Avance (UMA) au sein du PS vient de lancer son nouveau site internet : http://www.benoithamon.fr 

   

Le porte parole du PS a aussi sortie un nouveau Livre : "Tourner la page" :

 

http://multimedia.fnac.com/multimedia/FR/images_produits/FR/Fnac.com/Grandes110/1/3/3/9782081262331.gif


Le capitalisme financier a précipité le monde dans la crise. Les marchés, toujours indomptés, multiplient les déflagrations économiques. Le néolibéralisme paralyse la marche du progrès social. Les pays émergents contestent la suprématie occidentale. Un vent de démocratie souffle sur les pays arabes, et pendant ce temps, en Europe et en France, tout continue comme avant...

En dépit de l´impact destructeur de la crise sur nos vies, en dépit des responsabilités des marchés financiers, les élites intellectuelles, politiques, médiatiques et économiques justifient que la facture soit payée par les peuples. Il faudrait sacrifier ce qui subsiste de nos services publics et de nos solidarités.

Pourtant le message des peuples est limpide : ces politiques d´austérité ne sont pas seulement injustes, elles sont illégitimes et inacceptables. Pour éviter que la politique soit exclusivement la fille de la peur, la gauche doit redonner un sens et un contenu au progrès.

Ce livre propose des objectifs et une stratégie pour desserrer l´étau et reprendre la marche du progrès.

 

 

 L'actualité de Benoît Hamon à suivre ici

 


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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 09:28

http://www.leparisien.fr/images/2011/09/15/1610823_kov07-france-elections-ps-3_640x280.jpg

 



 

 

Hier soir (15/09/11) le premier débat sur les primaires socialistes des 9 et 16 Octobre prochain a eu lieu sur France 2. Celui-ci a rencontré un franc succès avec 5 millions de téléspectateurs en moyenne, placant France 2 en tête des audiences de la soirée.

 

 

Petit retour sur ce premier débat, candidat par candidat :

 

 

Martine Aubry : Elle a été efficace et précise en argumentant et détaillant ses propositions.  La "mère" des 35 heures a aussi valorisé son expérience de ministre et de maire de grande ville, avant de réaffirmer ses priorités si elle devait être la candidate socialiste en 2012 : la justice sociale, « l'emploi, l'emploi, l'emploi », l'éducation, le pouvoir d'achat et la sécurité, «  car on ne peut pas vivre sans la sécurité ». «  Je sais dire non  ! », a-t-elle aussi lancé, comme une pique à son camarade Hollande.

La maire de Lille a lancé 3 arguments contre François Hollande :

- elle critique le fait qu'il promette de revenir à l'équilibre des comptes publics en 2017, jugeant que le contexte européen est trop incertain pour se livrer à ce genre de pronostics " irresponsables ".

 - elle critique aussi son projet alternatif aux 300 000 "emplois d'avenir" prévus dans le projet PS. En effet, François Hollande souhaite un dispositif de baisse de charges en contrepartie de l'embauche en entreprise d'un jeune et du maintien d'un senior. "Je l'ai essayé, ça ne marche pas", a jugé forte de son expérience de ministre des affaires sociales, qui en profite au passage pour rappeler qu'elle a une expérience gouvernementale, contrairement à son adversaire.

- Enfin, Martine Aubry a mis en avant le fait que l'ancien premier secrétaire contrairement à elle, ne promet pas une sortie du nucléaire, ce qui a entraîné un débat vif mais respecteux entre les deux concurrants.


 

Jean-Michel Baylet : Ce que je retiens du seul candidat non socialiste à cette primaire, c'est qu'il est pour la dépénalisation du cannabis et pour l'euthanasie. Sinon je trouve que sa voix ressemble à celle de Charles Pasqua comme l'a fait remarqué @  sur Twitter :)


 

François Hollande : Maniant humour et sérieux, je l'ai trouvé plutôt à l'aise. Il a beaucoup insisté sur l'école et promis de créer 12.000 poste d'enseignants par an durant le prochain quinquenat, il a mis en avant son expérience et que malgré le fait qu'il n'ai jamais été ministre il a été associé à toutes les grandes décisions sous le gouvernement Jospin entre 1997 et 2002. Il a promis que les comptes publics seraient revenu a l'équilibre en 2017, il a parlé du nucléaire en mettant en avant qu'il ne souhaite pas en sortir mais réduire la dépendance de la France à ce sujet. D'ailleurs cela risque d'être un sujet de discorde avec EELV. J'ai trouvé intéressant qu'il rappelle qu'avant un second tour à l'élection présidentielle il y a un premier tour.


 

Arnaud Montebourg : Il a mis en avant ses origines, son attachement à son territoire. Il a déroulé ses argumentaires sur le nécessaire combat contre les marchés et la nécessité d'encadrer la finance et les banques. l a également rappelé qu'il est le seul candidat à cette primaire à avoir voter Non au TCE en 2005. Je l'ai trouvé intéressant, il serait mon deuxième choix derrière Aubry à cette primaire.


 

Ségolène Royal : Sa présentation d'une minute ne m'a pas convaincu, en plus elle regardait souvent son petit papier en regardant la caméra, ça ne fait pas très sérieux. Elle a peinée à se faire entendre durant ce premier débat, je note surtout qu'elle tend de nouveau la main aux centriste, du coup quid du Front de gauche ? Sinon elle a fait de la pub plusieurs fois pour son livre :)



Manuel Valls : le candidat social démocrate assumé que Pujadas décrit comme étant à la droite du PS a bien mis en avant ses idées que ce soit sur la sécurité (je mise un franc qu'il sera ministre de l'intérieur si la gauche gagne en 2012) où comment s'attaquer à de la dette. Il veut dire la vérité au français.

 

 

Suite à ce premier débat, Ma position n'a pas changé et ne changera pas : les 9 et 16 octobre je voterai pour Martine Aubry : http://0z.fr/JihQ5

 

 

 

Vous pouvez lire le fil de la soirée ici


Deux autre débats auront lieu avant le premier tour :

Mercredi 28 septembre à 18 heures, en partenariat avec i-Télé, LCP, Europe 1 et Le Parisien.

Mercredi 5 octobre à 20 h 30, en partenariat avec BFM, RMC, Le Point et Public Sénat.

 

 


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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 09:19


 

 

Le premier débat concernant les primaires socialistes aura lieu ce soir à 20h35 sur France 2. Il sera animé par David Pujadas.

Je pense que les membres du fan club de Ségolène Royal ont déjà préparé le titre de leur prochain billet sur leurs Blogs : "Ségolène Royal grande gagnante du premier débat sur les primaires socialistes" :)

 

Pour savoir où voter pour les primaires socialistes RDV ici : bureauxdevote.lesprimairescitoyennes.fr 

 

Plus d'informations sur le déroulement des primaires ici : uma76.over-blog.com

 

Portrait des candidats à lire ici

 

Deux autre débats auront lieu avant le premier tour :

Mercredi 28 septembre à 18 heures, en partenariat avec i-Télé, LCP, Europe 1 et Le Parisien.

Mercredi 5 octobre à 20 h 30, en partenariat avec BFM, RMC, Le Point et Public Sénat.


 

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 13:59

 

Pour savoir où voter pour les primaires socialiste des 9 et 16 octobre prochain, rendez vous sur : bureauxdevote.lesprimairescitoyennes.fr et entrez le code postal et la commune de votre bureau de vote habituel.

Attention, c’est l’adresse de votre inscription sur la liste électorale au 31 décembre 2010 qui détermine votre bureau de vote des primaires.

Votre bureau de vote sera ouvert les dimanches 9 et 16 octobre présentez vous entre 9h et 19h, muni d’une pièce d’identité et d’un euro pour les frais d’organisation.

 Plus d'informations sur le déroulement des primaires ici

 

 

 

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 10:42

http://24heuresactu.com/wp-content/uploads/2011/09/martine-aubry-nucl%C3%A9aire-300x201.jpg

 

Via lesechos.fr, petit retour sur le parcours politique de Martine Aubry par le biais d’une sélection vidéos... de la promotion 1974 de l’Ena à son discours de candidature à la primaire socialiste en 2011.

Pour voir certaines vidéos il faut s'inscrire sur le site Ina.fr

 

http://blogs.lesechos.fr/local/cache-vignettes/L190xH140/videos_aubry-a40b2.jpg

 

Martine Delors naît le 8 août 1950 à Paris. Elle est la fille de Marie Lephaille et de Jacques Delors, qui sera ministre des Finances de 1981 à 1984 sous les gouvernements de Pierre Mauroy, puis président de la Commission européenne de 1985 à 1995. Divorcée de Xavier Aubry, dont elle a gardé le nom et avec qui elle a eu une fille, Clémentine, elle a épousé en secondes noces un avocat lillois, Jean-Louis Brochen. 

Elle a fait des études universitaires en sciences économiques et en sciences sociales du travail. Elle est également diplômée de l’Institut d’études politiques de Paris (1972) et a été élève à l’ENA de 1973 à 1975 (promotion Léon Blum). A sa sortie, elle intègre le ministère du Travail et des Affaires sociales en tant qu’administratrice civile.

Lors d’un reportage au journal télévisé du 2 juillet 1974, présentation de certains étudiants de la promotion Léon Blum, dont Martine Aubry, « fille de haut fonctionnaire » :

 

 

1981 : Après l’élection de François Mitterrand, elle occupe divers postes au ministère du Travail et des Affaires sociales, dans les cabinets de Jean Auroux, puis de Pierre Bérégovoy. Elle participera notamment à la rédaction des lois Auroux qui ont profondément transformé le droit du travail en matière de liberté des travailleurs dans l’entreprise, de réglementation des conflits du travail, de développement des institutions représentatives du personnel et des comités d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail

Un extrait de l’émission « Jury d’action » où le 20 février 1986, Martine Aubry défend les lois Auroux lors d’un débat avec Yvon Gattaz, alors président du CNPF, l’ancêtre du Medef.




En 1986, après la victoire de la droite aux législatives, elle intègre le Conseil d’Etat.

Puis entre 1989 et 1991, le secteur privé chez Pechiney et devient la directrice adjointe de Jean Gandois (qui prendra en 1994 la tête du CNPF, l’ancêtre du Medef.).

En 1991, elle entre au gouvernement d’Edith Cresson en tant que ministre du Travail, de l’Emploi et de la Formation professionnelle. Poste qu’elle conservera , jusqu’en mars 1993 au sein du gouvernement Bérégovoy.

Le premier Conseil des ministres de Martine Aubry le 17 mai 1991, où à son arrivée elle provoque avec Frédérique Bredin « une mini émeute au sein des photographes », selon le journaliste de Soir3.





En 1993, alors que la droite revient au pouvoir à l’issue des élections législatives, Martine Aubry lance avec le soutien de 15 grandes entreprises françaises la Fondation Agir contre l’exclusion (FACE), fondation qui rassemble désormais 3.500 entreprises locales et nationales.

En 1995, elle devient la première adjointe de Pierre Mauroy à la mairie de Lille.

« Pourquoi faites-vous de la politique ? », demande en 1995 Françoise Giroud à Martine Aubry : . « J’ai toujours été préoccupée par les problèmes des gens, cela tient au milieu familial, mon père, ma mère.. », explique-t-elle, se disant par ailleurs « affectée » par la décision de Jacques Delors de ne pas se présenter à l’élection présidentielle.





En 1997, la gauche remporte les législatives. Le nouveau Premier ministre, Lionel Jospin, nomme Martine Aubry numéro deux du gouvernement au poste de ministre de l’Emploi et de la Solidarité. Elle est chargé de mettre en place la principale promesse de campagne : la lutte contre le chômage avec la création d’emplois. Elle mettra en œuvre plusieurs dispositifs dont les 35 heures et les emplois-jeunes, mai aussi la couverture maladie universelle.

Le 27 janvier 1998, Martine Aubry défend devant l’Assemblée nationale le projet de loi d’orientation et d’incitation relatif à la réduction du temps de travail.




En octobre 2000, Martine Aubry démissionne du gouvernement pour se consacrer à la campagne pour les élections municipales. Pari gagné, car à l’issue d’une triangulaire elle remporte la mairie de Lille.

Le 25 mars 2001, Martine Aubry est installée officiellement dans ses fonctions de maire et reçoit l’écharpe tricolore des mains de Pierre Mauroy.




En avril 2002, Martine Aubry, battue aux législatives, subit un sévère revers électoral. Elle ne se présentera d’ailleurs pas en 2007. 

En 2002, son échec aux législatives la fait fondre en larmes au soir du second tour.

 


 

En 2008, elle tient sa revanche en étant en mars réélue à la tête de Lille avec 66,5% des voix et en novembre en devenant lors du congrès de Reims première secrétaire du PS, en devançant Ségolène Royal d’une centaine de voix seulement.

 

 

Le 28 juin 2011, elle annonce qu’elle se présente à la primaire organisée par le PS pour désigner son candidat à la présidentielle de 2012.





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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 09:07

http://munich.ffe-ps.org/files/2011/07/logo-primaires-citoyennes.jpg

 

 

 


 

 

La primaire socialiste aura lieu les 9 et 16 octobre prochain. 

Qui est candidat ? Qui peut voter ? Comment se déroule le vote ? 

 Voici un petit mode d'emploi de celle-ci :

 

 

  • Qui est candidat ?
Cinq socialistes se présentent : Martine AubryFrançois HollandeArnaud MontebourgSégolène Royal et Manuel Valls. Il y a également Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG).

Tous les citoyens français inscrits sur les listes électorales avant le 31 décembre 2010 ont le droit de participer.

Pour les Français résidant à l'étrangerdes modalités particulières sont prévues : il doivent être inscrits sur les listes électorales consulaires et s'être pré-inscrits auprès du PS avant le 13 juillet pour voter soit par correspondance soit dans un des 43 bureaux de vote tenus par des militants.

Les mineurs qui auront 18 ans en mai 2012, mais qui n'ont pas encore pu s'inscriresur les listes électorales, pourront voter à condition de s'être préinscrits avant le 13 juillet. Les mineurs de plus de 16 ans pourront également glisser leur bulletin dans l'urne, à condition d'être membres du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) depuis le 31 mai 2001 au plus tard et de s'être préinscrits.

Les étrangers qui souhaitent participer devront, eux, être militants PS ou MJS depuis le 31 mai 2011 au plus tard et s'être préinscrits.

Le vote par procuration n'est pas possible.

Tous ceux qui voudront participer devront verser un euro pour les frais de participation et signer une charte d'adhésion aux valeurs de gauche qui sera formulée ainsi : "Je me reconnais dans les valeurs de la gauche et de la République, dans le projet d'une société de liberté, d'égalité, de fraternité, de laïcité, de justice et de progrès solidaire." Après avoir voté, les participants seront invités à laisser leurs coordonnées, avec la possiblité de refuser.

 

  • Quel est le calendrier ? 

Trois débats sont organisés entre les candidats :

Jeudi 15 septembre à 20 h 35, en partenariat avec France 2 et Le Monde.

Mercredi 28 septembre à 18 heures, en partenariat avec i-Télé, LCP, Europe 1 et Le Parisien.

Mercredi 5 octobre à 20 h 30, en partenariat avec BFM, RMC, Le Point et Public Sénat.

 

Deux tours de scrutin sont prévus :

Samedi 8 octobre aura lieu le premier tour en Guadeloupe, Guyane, Martinique, à Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon et en Polynésie française, ainsi que pour les Français à l'étranger résidant sur le continent américain et votant dans des bureaux de vote physiques.

Dimanche 9 octobre aura lieu le premier tour en France métropolitaine, à la Réunion, à Mayotte, ainsi que pour les Français à l'étranger résidant en Europe, en Afrique, en Asie et votant dans des bureaux de vote physiques.

Samedi 15 octobre et dimanche 16 octobre : un second tour aura lieu si aucun candidat n'a dépassé 50 % au soir du premier tour.

 

Le PS va ouvrir des bureaux de vote dans de nombreux lieux : il s'est donné pour objectif d'en avoir 11 000 disponibles le jour du scrutin. Ce sont environ 10 000 bureaux qui devraient finalement être ouverts. Les lieux seront connus la semaine du 12 septembre.

En tapant le nom de leur ville sur le site de la primaire dans un moteur de recherche prévu à cet effet, les électeurs intéressés doivent trouver le bureau de vote le plus proche de chez eux.

Le 19 septembre, une application pour les smartphones permettra également delocaliser son bureau de vote.

 

  • Qui contrôle ?

Une "Haute autorité", composée de trois membres (Jean-Pierre Mignard, Catherine Barbaroux et Rémy Pautrat), est chargée de contrôler les opérations de vote et deproclamer les résultats définitifs.

Les résultats sont centralisés immédiatement après la fin du dépouillement : un procès-verbal des opérations de vote est rédigé et signé par les membres de chaque bureau. Puis le président du bureau le remet dans la soirée à une commission départementale de recensement des votes qui, elle-même, transmet les résultats cumulés du département au comité national d'organisation de la primaire. Par ce canal peuvent être émises d'éventuelles remarques.

Parallèlement, il a été prévu un second moyen de collecte des résultats : les présidents de bureaux de vote les enverront par serveur téléphonique, SMS ou Internet, vers une plateforme ad hoc.

A tous les niveaux des opérations électorales, des représentants nommés par les différents candidats pourront assister aux opérations. En cas de litige, la Haute autorité, en accord avec tous les membres du comité national d'organisation de la primaire, examinera les éventuels recours.

 

  • Que deviendront les fichiers ?

Deux fichiers seront constitués. Le premier sera issu des listes électorales, que tout parti politique ou candidat peut consulter, comme l'explique l'article L 28 du code électoral. Il permettra de répartir les citoyens dans les différents bureaux de vote ouverts pour l'occasion. Comme le rappelle le PS sur le site dédié, ce fichier sera déclaré à la CNIL, ainsi que le fichier des présidents et accesseurs des bureaux de vote. Accusé par l'UMP de vouloir "ficher" les votants, le PS s'est engagé à le détruire après le scrutin, sous contrôle d'huissiers de justice.

Un deuxième fichier sera constitué sur la base du volontariat des électeurs qui laisseront leurs coordonnées et accepteront qu'elles soient utilisées pendant la campagne.

 

 


  • http://img.over-blog.com/500x473/3/69/95/33/Illustration-2/les-primaires-comment-ca-marche-82338.png

 

source : lemonde.fr


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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 14:48

uma-un-monde-d-avance-logo.png

 

 

Voici quelques articles sur Martine Aubry publiés sur le Blog d'Un Monde d'Avance (UMA) en seine-maritime, le courant de Benoît Hamon au PS :

 

Les propositions de Martine Aubry en matière économique et budgétaire :

 

Téléchargement : Martine Aubry propose une nouvelle forme de licence globale :

 

Démocratie sociale : Avec Martine AUBRY, parachevons les Lois AUROUX :

 

Martine Aubry propose une refondation de l'école :

 

Avec Martine Aubry pour travailler mieux et créer des emplois :  

 

et aussi :

 

Interview de Patrick Jeanne, maire PS de Fecamp :

 

Pascal Marchal, Conseiller général PS du canton de Pavilly soutient la candidature de Martine Aubry :

 

 

A suivre UMA76 sur Twitter : http://twitter.com/uma76

 

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 10:59

http://asset.rue89.com/files/imagecache/asset_wizard_height/files/LucileSourds/mensuel_13_inside.jpg

 

Les dimanches 9 et 16 octobre 2011, aura lieu la primaire socialiste, afin de désigner le candidat du PS à l'élection présidentielle.

Pour vous aider à faire votre choix, Rue89 Le Mensuel consacre un dossier spécial de 30 pages au banc d'essai des six candidats.

Vous avez du mal à distinguer les programmes de Martine Aubry et de François Hollande ?

Vous voulez savoir comment se comportent ces candidats là où ils détiennent une parcelle de pouvoir ?

Vous vous demandez qui les entoure, qui les conseille, qui leur fait confiance ?

Toutes ces réponses sont dans le numéro de septembre de Rue89 Le Mensuel.

Cliquez ici pour feuilleter le numéro 13 de Rue89 Le Mensuel

 

 Plus d'informations ici 


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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr