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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 22:32

http://asset.rue89.com/files/imagecache/asset_wizard_width/files/EmmanuelleBonneau/2206_sarkozy_ecole_primaire_inside.jpg

 

Article de Marie Kostrz (Rue 89), qui m'a téléphonée pour contacter notamment Pascal Marchal, Conseiller général PS du canton de Pavilly (seine-maritime).

 

 

 

L'Elysée promet qu'aucune classe de primaire ne sera fermée à la rentrée 2012, sans revenir sur les suppressions de postes.

 

Sarkozy l'a décidé : à la rentrée scolaire 2012, le nombre de classes fermées dans le primaire ne devrait pas excéder celui des classes ouvertes. Instits, parents d'élèves, élus et syndicats dénoncent une promesse irréalisable tant que la suppression d'un poste sur deux dans l'enseignement n'est pas remise en cause par l'Elysée.

Le communiqué de l'Elysée précise clairement que le rythme des suppressions de postes ne sera pas modifié :

« En 2012, il ne sera procédé, hors démographie, à aucune fermeture de classe d'école primaire. Cela ne signifie pas l'interruption de la règle dite du un sur deux (non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux partant en retraite) dans la fonction publique d'Etat, à laquelle les enseignants appartiennent. »

 

Une décision accueillie « avec satisfaction » par Jacques Pélissard, président de l'Association des maires de France (AMF). Dans un communiqué, le maire UMP de Lons-le-Saunier espère qu'une réflexion sur cette question sera engagée prochainement avec le ministère de l'Education nationale.

Pour Sébastien Sihr, secrétaire général du Syndicat national unitaire des instituteurs et des professeurs des écoles (SNUIPP-FSU), le Président pose là une « sacrée équation » :

« Il annonce le gel de fermeture de classe mais aucune augmentation des places au concours de professeurs des écoles.

Or, il ne sera pas possible de garder la même quantité de classes ouvertes si les départs à la retraite ne sont pas plus remplacés. »

 

Selon lui, du fait de la règle de non-remplacement, au 1er juillet 2012, environ 11 000 enseignants partiront à la retraite alors que seulement 3 000 postes sont disponibles lors du concours.

« Il est impossible de garder le même nombre de classes dans ces conditions. »

 

Quid des « postes invisibles » ? 

Patrick Gonthier, secrétaire général du syndicat Unsa, craint quant à lui que cette décision ait des conséquences sur les autres niveaux de primaire et du secondaire :

« En maintenant le cap des suppressions de postes dans l'ensemble de l'enseignement à 16 000, il faudra bien agir quelque part : si ce n'est pas en primaire, on peut redouter des suppressions en maternelle, au collège et au lycée. »

 

Mais selon lui, la vraie menace porte sur les « postes invisibles » :

« Quand on ferme une classe, cela se voit, c'est pour cela que le gouvernement agit à ce niveau. Mais il y a dans l'enseignement tout un ensemble de postes qui seront sans doute bien plus visés par le gouvernement, car ils sont invisibles :

  • les formateurs,
  • les remplaçants,
  • des Réseaux d'aide spécialisé aux élèves en difficulté [Rased, ndlr]. »

 

Francis Jausès, président de la Fédération nationale des associations des rééducateurs de l'Education nationale (Fnaren), est inquiet. Pour lui, le risque est gros pour les Rased : leur nombre a déjà été fortement réduit, une politique qui se poursuit dans le schéma 2011-2013, prévu par le ministère de l'Education nationale.

Pourtant, insiste-t-il, l'accompagnement des élèves en difficulté est extrêmement important, comme le montre le documentaire « Un parmi les autres » de Pierre de Nicola, qui sera diffusé le 24 juin au Sénat. (Voir la vidéo)



« Les classes ferment pour raison démographique »

C'est aussi l'avis de Raphaël Vielle, délégué des parents d'élèves à l'école Prevost-Freinet de Bouville, en Seine-Maritime. En mai, l'établissement a appris qu'il perdra une classe en primaire à la rentrée prochaine, et qu'une classe de maternelle est menacée pour celle de 2012. La promesse de Nicolas Sarkozy ne suscite chez lui aucun optimisme :

« 160 élèves sont scolarisés dans l'école, l'inspection académique en exige 25 par classe, un seuil que nous n'atteignons pas pour la rentrée prochaine. Rien ne sera fait pour nous puisque la classe a été fermée parce que le nombre d'élèves est insuffisant. »

 

L'exception « hors démographie » du communiqué de l'Elysée irrite aussi Pascal Marchal, conseiller général socialiste du Canton de Pavilly auquel appartient l'école :

« Dans le canton, quatre écoles sont touchées par des fermetures de classe. Trois le sont pour des causes démographiques. L'annonce de Sarkozy est un écran de fumée vu que, dans l'immense majorité des cas, les classes ferment pour cette raison. »

 

Cette exception « démographique » chiffonne tout autant Sébastien Sihr, du SNUIPP-FSU. Selon lui, il faudrait tenir compte des critères sociaux des élèves plus que de leur nombre pour décider ou non de la fermeture des classes :

« En général, les départements touchés par la baisse du nombre d'élèves – comme la Creuse, le Nord ou l'est de la France – sont aussi en situation sociale difficile. C'est au contraire dans ces écoles qu'il faudrait mobiliser davantage de moyens. »

 

« Pourquoi ne pas ce gel des fermetures dès 2011 ? »

La déclaration de Nicolas Sarkozy n'a pas plus rassuré Brigitte Gonthier-Maurin, sénatrice du groupe communiste, républicain et citoyen. D'après elle, il ne s'agit que d'une annonce qui vise à rassurer les grands électeurs (maires, conseillers généraux…) en vue des élections sénatoriales de septembre auxquels ils participeront :

« La réaction a été unanime sur les bancs de la gauche : pourquoi ne pas avoir mis en place ce gel des fermetures dès 2011 alors que nous sommes actuellement en train d'examiner la loi de finance bis ? »

 

La sénatrice précise que les parents d'élèves et les enseignants ont été nombreux à se mobiliser contre les fermetures de classes et à interpeller les élus locaux et les sénateurs. Cette « véritable angoisse » dans la société ne peut plus être niée, y compris par les sénateurs de la majorité.

Le syndicaliste Patrick Gonthier va lui plus loin :

« Le Président ne prend pas beaucoup de risque : la rentrée 2012, c'est après l'élection présidentielle, on ne sait pas qui sera au pouvoir à ce moment et si cette mesure sera donc vraiment appliquée. »

 

Un avis également défendu par François Bayrou ce matin sur BFM TV. Le président du MoDem a déclaré :

« Je n'aime pas qu'on prenne les électeurs pour des gogos, pour des enfants auxquels lorsque les élections approchent, on fait miroiter des promesses qui ne seront pas respectées. » (Voir vidéo à partir de 11'37)



 

« L'Inspection poursuit une logique exclusivement comptable »

En plus de tous ces arguments, le conseiller général Pascal Marchal tient à relativiser la bonne volonté du Président : en quatre ans, 50 000 postes ont été supprimés dans l'Education nationale. Selon lui, la marge de manœuvre des responsables sur le terrain est de plus en plus diminuée :

« Avant, on arrivait avec beaucoup d'arguments à différer la fermeture des classes. On montrait par exemple que la construction d'un nouveau lotissement apporterait forcément de nouveaux élèves à l'école.

 

Maintenant, ce n'est plus possible, on voit que l'inspection académique poursuit une logique exclusivement comptable. »

 

Un constat amer que dresse également Patrick Gonthier, de l'Unsa :

« Hier, nous avons rencontré Luc Chatel, avec qui l'échange a été très vif. Il nous a dit de nous estimer heureux que l'Etat ne baisse pas nos salaires comme en Grèce. »

 

Contactés plusieurs fois dans la journée par Rue89, ni l'Elysée ni le ministère de l'Education nationale n'ont répondu à nos demandes.

 

 

 

 

source : http://www.rue89.com

 

lien : http://www.yann-savidan.com

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 09:08

http://files.fluctuat.net/images/cms_flu/8/7/6/8/48678/61177.jpg

 

 

 

 

Voici mon avis sur le Film "La Conquète"

 

 

J'ai passé un très bon moment devant ce film et j'ai souvent rigolé. 

 Le risque du film était de tomber dans la caricature est bien là c'est éviter. Le jeu des acteurs est effectué tout dans la finesse et la ressemblance avec les vrais acteurs de la vie politique est très réussite.

Une mention spéciale pour Dennis Polalydes (Nicolas Sarkozy), Bernard Lecoq (Bernard Chirac), Samuel Labarthe (Dominique de Villepin) et surtout Florence Pernel (Cécilia Sarkozy) qui sont très bons dans leur rôle respectif.

Dans ce film, les coups bas, les petites phrases assassinent, rien ne nous est épargné et on se rend compte de la dureté du pouvoir et de l'hypocrisie du monde politique.

Montrer le côté cour de l'élection de Nicolas Sarkozy était un pari risqué, ici plutôt réussi.

Etant très branché politique j'ai pris beaucoup de plaisir à voir "La Conquète".

A lire les avis de Gabale et Sarkofrance sur ce film.

lien : radiohern 

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8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 19:34

http://desourcesure.com/uploadv3/chiracsarko.jpg

 

Alors que le second tome des mémoires de Jacques Chirac, va bientôt sortir en librairies, Le Nouvel Obs' et Le Point révèlent les bonnes feuilles de celui-ci où Nicolas Sarkozy en prend pour son grade.

 

 

«Nerveux, impétueux, débordant d’ambition, ne doutant de rien et surtout pas de lui-même». Ce portrait acide de l’actuel président de la République française, c’est Jacques Chirac qui le signe dans le deuxième tome à paraître de ses mémoires consacrées à ses douze ans de mandat présidentiel. Dérogeant à la règle qu’il s’était fixée de ne pas critiquer son successeur, l’ex-président ne rate pas son ancien ministre.

Reconnaissant à Nicolas Sarkozy des qualités, une ambition «au point de composer son cabinet ministériel» avant d’être nommé, il constate au final: «Nous ne partageons pas la même vision de la France.»

«Trop de zones d’ombre et de malentendus subsistent», constate Chirac alors qu’il examinait une possible nomination du jeune loup à Matignon après sa réélection de 2002. Il se fait d’ailleurs plus précis encore et attribue la sortie dans la presse de l’affaire des biens de son épouse Bernadette, au ministre du Budget Nicolas Sarkozy, qui fit campagne contre lui aux côtés d’Edouard Balladur à l’élection de 1995. «Visant ma belle-famille et moi-même par voie de conséquence, elle n’avait pas d’autre objectif que de salir la réputation d’un concurrent.» Chirac poursuit : «Les attaques lancées contre Alain Juppé, peu après son arrivée à Matignon, ne devaient rien au hasard, elles non plus. Puis ce fut à mon tour d’être pris pour cible.»

Parmi les mauvais souvenirs, le fin connaisseur des Arts premiers, pour qui la création du Musée du quai Branly fut «l’une des grandes joies de ma vie», se rappelle la sortie sarkozyenne sur le Japon: «J’ai feint de ne pas me sentir visé lorsque Nicolas Sarkozy a cru bon d’ironiser sur les amateurs de combats de Sumo et de dénigrer le Japon, deux de mes passions, comme il ne l’ignore pas. Je me suis dit en l’apprenant que nous n’avions pas les mêmes goûts, ni la même culture.»

Le 6 mai 2007, Nicolas Sarkozy est élu président de la République. "Nous sommes réunis à l’Elysée avec Bernadette et de proches conseillers…, écrit Chirac, pour entendre la première déclaration du futur chef de l’Etat. Chacun de nous écoute avec la plus grande attention chaque phrase, chaque mot qu’il prononce, guettant secrètement le moment où il citera sans doute le nom de celui auquel il s’apprête à succéder, ou même le remerciera du soutien qu’il lui a apporté. Mais ce moment ne viendra jamais… Au fond de moi, je suis touché, et je sais désormais à quoi m’en tenir.»

 

Comme on dit, ça c'est fait ! :)

 

 

 


source : tdg.ch
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20 mai 2011 5 20 /05 /mai /2011 17:39

Nicolas Sarkozy

 

C'était le 3 mai 2007 sur RTL. Nicolas Sarkozy, alors invité de RTL dans le cadre du second tour de la Présidentielle, celui qui allait devenir président avait affirmé à un auditeur qu'il n'y aurait pas de suppression des panneaux indicateurs de radars automatiques. Pourtant, aujourd'hui, plus de quatre ans plus tard, le gouvernement a bel et bien décidé de supprimer du bord des routes ces panneaux.

 

ECOUTER   Archives RTL | 19/05/2011 - 16h47écouterEn 2007, Nicolas Sarkozy annonçait sur RTL que "Les radars, ce n'est pas fait pour remplir les caisses de l'Etat"

 

Hier (le 19 mai 2011), Nicolas Sarkozy a d'ailleurs expliqué qu'il "ne laisserai pas repartir le nombre de morts sur la route à la hausse. Je ne cèderai pas sur cet objectif" malgré la grogne des députés UMP...

 

...

 

 

source : http://www.rtl.fr

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18 mai 2011 3 18 /05 /mai /2011 07:25

http://files.fluctuat.net/images/cms_flu/8/7/6/8/48678/61177.jpg

 

 

 

 

27 avril 2002 – 6 mai 2007


Entre ces deux dates, l’irrésistible ascension de Nicolas Sarkozy à la magistrature suprême racontée à la façon d’un thriller.


Au-delà du cas Sarkozy, la réalité dans tous ses aspects des tenants et des aboutissants de la conquête du pouvoir.

 

 

C'est la première fois dans toute l'histoire du cinéma français qu'un film de fiction est réalisé sur un président de la République encore dans l'exercice de ses fonctions. Aux États-Unis, Oliver Stone avait déjà tenté le pari avec W. - L'improbable Président autour de George W. Bush, dont le second mandat n'était pas encore achevé au moment de la sortie du film.

 

Le projet de base pour les producteurs de La Conquête consistait en un film totalement différent. Ils ont imaginé une sorte d'uchronie débutant le jour de l'élection présidentielle de Sarkozy. Ce jour-là, il meurt dans un accident de voiture. La suite du film présente tout ce qui se passe en France durant les quarante jours qui suivent la mort de l'ex-futur président. L'idée fut vite abandonnée.

 

 

Ce film sort ce 18 Mai avec Dennis Podalydès dans le rôle d'un Sarkozy plus vrai que nature.

 

 

Je suis curieux d'aller voir ce film.

 

 

S'il y a un deuxième film sur Sarkozy, par exempel concernant sa présidence, celui-ci s'appelera peut être : "La chute" :)

 


 

 

 

 

source : http://radiohern.over-blog.com

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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 07:13

http://www.rollins.fr/__website/sebyrollins/wp-content/carla-bruni-enceinte.png

 

Carla Bruni est enceinte de Benjamin Bioley Nicolas Sarkozy, c'est ce que dit la père du chef de l'Etat dans le quotidien allemand "Bild".

 

Comment dire ?

 

On s'en fout !

 

Pourquoi j'en parle d'ailleurs :)

 

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 16:35

http://www.rollins.fr/__website/sebyrollins/wp-content/carla-bruni-enceinte.png

 

Attention, c'est le scoop de la semaine !

 

Selon quelques Blogs politique people, Carla Bruni serait enceinte de Benjamin Bioley Nicolas Sarkozy.

 

Si cette information se révelait vrai, nul doute que papy Sarkozy gagnerait quelques points dans les sondages, suite par exemple à une belle une de Paris Match où il ferait un beko sur le ventre sa troisième femme.

 

 

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 11:00

http://images.allocine.fr/r_160_214/b_1_cfd7e1/medias/nmedia/18/82/74/16/19706468.jpg

 

 

27 avril 2002 – 6 mai 2007


Entre ces deux dates, l’irrésistible ascension de Nicolas Sarkozy à la magistrature suprême racontée à la façon d’un thriller.


Au-delà du cas Sarkozy, la réalité dans tous ses aspects des tenants et des aboutissants de la conquête du pouvoir.

 

 

C'est la première fois dans toute l'histoire du cinéma français qu'un film de fiction est réalisé sur un président de la République encore dans l'exercice de ses fonctions. Aux États-Unis, Oliver Stone avait déjà tenté le pari avec W. - L'improbable Président autour de George W. Bush, dont le second mandat n'était pas encore achevé au moment de la sortie du film.

 

Le projet de base pour les producteurs de La Conquête consistait en un film totalement différent. Ils ont imaginé une sorte d'uchronie débutant le jour de l'élection présidentielle de Sarkozy. Ce jour-là, il meurt dans un accident de voiture. La suite du film présente tout ce qui se passe en France durant les quarante jours qui suivent la mort de l'ex-futur président. L'idée fut vite abandonnée.

 

 

Ce film sortira le 18 Mai prochain avec Dennis Podalydès dans le rôle d'un Sarkozy plus vrais que nature.

 

 

 

 

source : http://radiohern.over-blog.com

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 07:19

http://medias.lepost.fr/ill/2011/04/19/h-4-2470732-1303195699.jpg

Nicolas Sarkozy dans "La Reconquête" des classes populaires | Montage Le Post d'après MAXPPPP

 

 

"Le président a fini par comprendre qu'il ne pouvait pas laisser son flanc gauche découvert". Ca, c'est pour le constat politique, la raison de ce voyage à Charleville-Mézières, résumée par un proche de Nicolas Sarkozy dans Le Figaro. Politiquement, après avoir abordé des thèmes qui parlaient à son "flanc droit" (au choix : immigration, insécurité, laïcité), on s'occupe du flanc gauche avec une valse en deux temps: une offensive sur le pouvoir d'achat au niveau gouvernemental avec des mesures concrètes (enfin, qui devraient l'être), le panier hebdomadaire à moins de 20 euros, la fameuse prime de 1000 euros... Et en rab, le président qui occupe le terrain.

 

Charleville-Mézières n'est pas un lieu choisi au hasard pour le président qui visitera une fonderie et fera un discours vers midi. 5 ans plus tôt, il avait lancé sa campagne de "candidat du pouvoir d'achat', avec des formules choc comme "travailler plus pour gagner plus". L'Humanité rappelle les formules qui avaient su donner l'espoir aux classes populaires, socle de son élection en 2007: "je suis venu vous dire que je n'accepte pas que la France soit un pays où l'on s'appauvrit en travaillant, parce que le travail ne paie plus assez, n'est plus assez récompensé. Ou encore "je suis venu réconcilier la France qui gagne et la France qui souffre". Avant de conclure: "je sais que vous vous êtes souvent sentis trahis. Je ne vous trahirai pas, je ne vous abandonnerai pas". 

 

Dans l'usine où a été prononcé ce discours, les salariés sont assez déçus. "Il nous a donné beaucoup d'espoirs" se souvient l'un de ceux qui avait assisté aux discours. "Je suis très amer, j'ai voté pour lui, et je suis déçu. Plutôt que de payer les chômeurs, pourquoi ne pas investir dans nos usines" résume un ouvrier de la fonderie, sur RTL. "J'espérais avoir une vie meilleure. On est toujours au même point" lâche un autre. 

 

Le président Nicolas Sarkozy sera aussi bien moins accueilli. Le maire de Charleville-Mézières a appelé au boycott, refusant de participer au "Sarkoshow", forme de prélude à la campagne électorale. Une campagne électorale qui se jouera entre les "bobos" et les "prolos", d'après son conseiller social, note RTL. Nicolas Sarkozy cherche à tout prix à séduire les "prolos".

 

 

 

Sources : L'HumanitéLe FigaroRTLlepost.fr

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 12:03

http://asset.rue89.com/files/imagecache/asset_wizard_width/files/YannGugan/sarkozy_armees_inside.jpg

 

C'est pas moi qui le dit, c'est Aurélie Dérbouret sur Rue89.

 

Et c'est à lire ici : www.rue89.com

 

 

http://asset.rue89.com/files/imagecache/asset_wizard_vignette/files/YannGugan/cover_newsweek.jpg

 

http://asset.rue89.com/files/imagecache/asset_wizard_height/files/YannGugan/sarkozy_armees_couverture_panorama.jpg

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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr