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7 novembre 2009 6 07 /11 /novembre /2009 12:00

 



Les
journalistes Suisses
ont sembe il l’avantage de ne pas être Français… Cela leur permet de faire des reportages avec comme trame de fond la pression exercée par notre super président sur les journalistes… ou comment en France tout le monde la ferme petit à petit par crainte de représaille.
(Reportage diffusé sur la TSR - Chaine Suisse)



Source : http://www.korben.info

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 21:13



Sur Canal +, "Le Petit Journal" de Yann Barthès a relevé les nombreuses similitudes entre prononcé le 27 octobre à Poligny (Jura) par Nicolas Sarkozy et celui prononcé huit mois plus tôt, le 19 février 2009 à Daumeray (Maine-et-Loire).


Plusieurs phrases étaient ainsi calquées mot pour mot, à commencer par une longue définition de l'agriculteur : "un chef d'entreprise qui doit s'adapter en permanence au climat, aux marchés, aux technologies, aux réglementations." On retrouve également dans les deux discours une référence à l'identité nationale : "Le mot 'terre' a une signification française et j'ai été élu pour défendre l'identité nationale française." Si cette phrase a été largement reprise mardi, en raison du débat relancé par Eric Besson, elle était passé inaperçue en février.


Quand Sarkozy dit "Je ne suis pas venu pour vous tenir un discours que vous avez déja entendu", comment on dit déja, ah oui c'est nous prendre pour des lapins de 6 semaines !
Si Yann Barthes n'est plus au petit journal dans les jours qui viennent ne vous etonnez pas, rappelons nous qu'il ne faut pas irriter notre cher Président.



source : http://www.lemonde.fr




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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 10:10
Nicolas Sarkozy, alors président de l'Union européenne, joue avec un drapeau français lors d'une conférence de presse au Conseil européen de Strasbourg, le 16 décembre 2008.


Alors qu’en moyenne la dépense pendant la présidence tournante des chefs d’Etat, s’élève entre 70 et 80 millions d’euros, celle menée par Nicolas Sarkozy a coûté selon MEDIAPART 171 millions d'euros !

171 millions d’euros du 1er juillet au 31 décembre 2008 avec en point d’orgue le repas offert à 43 chefs d’Etats étrangers, lors du sommet de lancement de l’Union pour la Méditerranée) qui a coûté 1.010.256 euros.

 

Un rapport de la commission des finances pointe « la multiplication et le coût parfois élevé des opérations », le caractère « parfois dérogatoire, voire irrégulier, des procédures suivies » l’on apprend ainsi que le ballet diplomatique des 13 et 14 juillet pour l’Union pour la Méditerranée ayant permis au président, pour sa plus grande gloire, de réunir l’Israélien Ehoud OLMERT à la même table que le syrien Bachard EL-ASSAD aura coûté 16,6 millions d’euros.

 

« Les prestations requises pour la circonstance ont été considérables » écrit la cour des comptes qui note que le grand palais a été réaménagé du sol au plafond pour 3 heures de réunion. Et la cour d’évoquer l’installation de « huit salons d’entretiens bilatéraux (avec salle de douche attenante), 32 cabines d’interprétation, la climatisation d’un espace immense et complexe pour 300 personnes… ».

 

L’on apprend ainsi par exemple, une facture de 91.456 euros pour l’installation d’une éphémère moquette ou bien 136.895 euros pour le fond de la scène et encore 194.977 euros pour les jardinières et les 16 monolithes. L’auteur du rapport d’écrire : « il faut souligner que tous les aménagements en question ont été démontés dès le lendemain du sommet et n’ont pas été repris ou réutilisés par l’administration ».

 

Comme le dit Philippe SEGUIN « cet exemple illustre le fait que les coûts importants générés par la présidence française l’auront été sans aucun retour sur investissement, s’agissant d’équipement publics ».

 

En ces temps de crise, ces dépenses sont indécentes ! de plus si Sarkozy était un bon gestionnaire l'endettement de la France ne serait pas aussi considérable !

 

 

Source : http://www.nationspresse.info


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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 11:00
French President Nicolas Sarkozy (L) drinks at the end of his meeting with his Kazakh counterpart Nursultan Nazarbayev in Astana. AFP photo.


"Je ne crois pas à la « realpolitik » qui fait renoncer à ses valeurs sans gagner des contrats. Je n'accepte pas ce qui se passe en Tchétchénie, au Darfour. Je n'accepte pas le sort que l'on fait aux dissidents dans de nombreux pays. Je n'accepte pas la répression contre les journalistes que l'on veut bâillonner. Le silence est complice. Je ne veux être le complice d'aucune dictature à travers le monde."
Nicolas Sarkozy, 14 janvier 2007, Porte de Versailles, Paris.


Nicolas Sarkozy est parti lundi pour quelques heures de visite au Kazakhstan.
Kazakhstan qui rappelons le n'est pas une démocratie. Amnesty International y relève régulièrement des violations de droits de l'homme, comme des récents cas de torture de prisonniers. Sarkozy n'a même pas l'intention d'y évoquer les libertés publiques. Donner des leçons quand on vient séduire un client, cela n'aurait pas été très sérieux.

Le principal reproche diplomatique que l'on peut faire à Nicolas Sarkozy n'est pas tant qu'il rende visite à des dictatures. Mais le culot avec lequel il a osé donner des leçons hier.

Le plus fort si j'ose dire c'est que les médias français ont seulement parler de nombreux contrats signés des entreprises françaises et pas de a situation politique du Kazakhstan.


source : http://sarkofrance.blogspot.com/



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1 octobre 2009 4 01 /10 /octobre /2009 11:00

Nicoas Sarkozy vient d'affirmer qu'il a "toujours été opposé à ces contrats jeunes" (VIPE puis CPE) qu'il défendait pourtant lorsqu'il était ministre...

Pour justifier l'extension a minima du Revenu de solidarité active (RSA) aux moins de 25 ans, le chef de l'Etat a ainsi affirmée cela :



Un simple retour en arrière contredit le président de la République. Sur le Contrat d'insertion professionnelle (CIP) d'abord, rebaptisé « smic jeunes ». Avant qu'il ne soit retiré sous la pression des manifestations en 1994, ce contrat de travail à durée déterminée pour les moins de 26 ans rémunéré à 80% du smic était défendu par tous les membres du gouvernement d'Edouard Balladur.

1994 : « Et si le CIP pouvait donner du travail à des jeunes ? »

Et au premier rang d'entre eux, figurait celui qui était alors ministre du Budget et porte-parole du gouvernement… Nicolas Sarkozy. En témoigne cette interview, le 16 mars 1994 sur le plateau de France 3. Interrogé sur l'opportunité de maintenir un tel contrat, il répond « bien sûr ». Avant d'enchaîner :

« Et si le CIP pouvait donner du travail à des jeunes ? Pourquoi n'expérimente-t-on pas ? Pourquoi manifester avant de savoir si cette formule va marcher ? (…)

Est-ce que c'est avoir peu d'ambition que de dire que, pour un jeune, il vaut mieux avoir un vrai contrat dans une véritable entreprise que de faire la queue à l'ANPE ? » ( Voir la vidéo ci dessous )




 

Sur le Contrat première embauche (CPE) ensuite, lui aussi retiré après une mobilisation monstre menée par les syndicats étudiants en 2006. Ce contrat de travail à destination des moins de 26 ans était à durée indéterminée, mais assorti d'une « période de consolidation » de deux ans durant laquelle le contrat pouvait être rompu à tout moment.

2006 : « Moi, je soutiens le contrat première embauche »

Avant de jouer les négociateurs, reprenant la main sur ce dossier dans lequel s'était embourbé le gouvernement de Dominique de Villepin, Nicolas Sarkozy, à l'époque ministre de l'Intérieur et président de l'UMP, soutenait pleinement le dispositif, au moins publiquement. En déplacement en Guadeloupe le 9 mars 2006, il déclarait devant la caméra de France 2 :

« Moi, je soutiens le gouvernement et le contrat première embauche. » (oir la vidéo ci dessous )



En privé, sa position était ensuite devenue différente selon Bruno Julliard, l'ex-président de l'Unef, le ministre de l'Intérieur encourageait en sous-main les anti-CPE. Une manière, déjà, d'enfoncer un peu plus Dominique de Villepin !

Le "coup de grâce" pour le chef de l'Etat a été asséné par celui que Nicolas Sarkozy soutenait lors de la présidentielle de 1995 : Edouard Balladur. L'ex-Premier ministre n'a pas manqué de rebondir sur les critiques adressées au CIP par son ancien ministre :

« Il l'a pourtant défendu avec beaucoup de flamme et je lui en suis toujours reconnaissant, parce que dans les moments difficiles il a toujours été à mes côtés pour m'apporter son aide. »


Dans la famille je mens, je demande le président !


source : http://www.rue89.com

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24 septembre 2009 4 24 /09 /septembre /2009 12:55



L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin va assigner Nicolas Sarkozy en justice pour violation de sa présomption d'innocence dans des propos visant l'affaire Clearstream que le président français a tenu hier soir à la TV.


Cette poursuite vise la phrase prononcée par le chef de l'Etat sur France 2 et TF1, hier, le mercredi 24 septembre 2009 à propos de la manipulation dont il estime avoir été victime, son nom apparaissant sur de fausses listes de la société financière Clearstream.

En effet, Nicolas Sarkozy a déclaré : "Deux juges d'instruction ont estimé que les coupables devaient être traduits devant un tribunal correctionnel". (voir vidéo ci dessus)

 

Le problème pour de Villepin c'est que le tribunal de Paris va repousser sa décision jusqu'au départ de Nicolas Sarkozy de l'Elysée, car étant présdient de la République, celui-ci bénéficie d'une imunitée. En sommes ce dernier est tranquille au jusqu'en en 2012 voir 2017 si il est réélu en 2012.

 

 

 

 

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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 11:00


L'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, renvoyé en procès dans l'affaire Clearstream, a accusé le président Nicolas Sarkozy, partie civile dans ce dossier, de faire preuve d'un "acharnement" dont il devra "s'expliquer", sur LCI.


Le chef de l'Etat "a marqué avec beaucoup de violences son souci de pendre le coupable à un croc de boucher", a-t-il dit.


"Il devra s'expliquer le moment venu, quand la lumière sera faite sur ce dossier, sur l'acharnement qui a été le sien, qui à mon sens n'est pas sans conséquence pour sa fonction, ni sur le plan humain, ni sur le plan politique".


Cinq ans après la révélation de l'affaire Clearstream, le tribunal correctionnel de Paris va tenter, à partir de lundi, de démêler le vrai du faux, si étroitement imbriqués au coeur de cette rocambolesque saga, et d'arbitrer entre le chef d'Etat et l'ancien Premier ministre.


Le président de la République "a, dans ce dossier comme dans tous les dossiers judiciaires, tous les droits, aucun devoir", a poursuivi M. Villepin : "donc il fera strictement ce qu'il veut, dans ce domaine comme dans beaucoup d'autres".


Interrogé sur la date à laquelle M. Sarkozy a su, selon lui, que son nom figurait dans les listings censés provenir de la chambre de compensation luxembourgeoise et démontrer l'existence d'un réseau de corruption, M. Villepin a déclaré: "il y a une chose qui est claire dans le dossier, c'est que Nicolas Sarkozy a su plus tôt, voire beaucoup plus tôt, qu'il ne l'a dit".


Source: AFP


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18 septembre 2009 5 18 /09 /septembre /2009 11:00


Un article de presse est paru récemment en Allemagne dans Bild Zeitung. A en lire son contenu nous pouvons douter que ce genre d'article paraisse un jour dans la presse française.


8 avions, 61 voitures de fonction, 1000 employés. Le train de vie princier de Sarkozy en France.


Paris. Toute la France est touchée par les mesures de récession. Toute la France ? Une personne ne joue pas le jeu : le Président Nicolas Sarkozy (54 ans). Le budget de la Présidence a toujours été tenu secret en France. Pour la première fois il est révélé sous Nicolas Sarkozy.


  • Dans les 300 mètres carrés de l'appartement de fonction des Sarkozy les fleurs doivent être fraîches en permanence : coût 280.000 euros par an.
  • Lorsque Nicolas Sarkozy voyage à titre privé, un avion gouvernemental vide l'accompagne en permanence, pour lui permettre de rentrer à Paris en cas d'urgence.
  • Il dispose de 61 voitures de fonction, 2 Airbus et 6 avions Falcon-Jet. Le dernier avion en date (60 millions d'euros) a été baptisé "Carla" du prénom de madame Sarkozy numéro 3.
  • Dépenses annuelles pour les boissons (Champagne, etc.) : 1 million d'euros.
  • Il a presque 1.000 employés à son service, deux fois plus que la Reine d'Angleterre. Parmi eux 44 chauffeurs et 87 cuisiniers.
  • Les cuisiniers-chefs peuvent se servir librement dans les caves à vin du Palais de l'Elysée, le repas de midi leur est servi par des laquais.
  • Carla et Nico peuvent commander de la nourriture ou des boissons 24 heures sur 24. La cuisine est en service en permanence.


Indignation ? Protestations ? Pas du tout. En France, cela semble être une affaire d'honneur que le Chef de l'Etat incarne la "Gloire de la nation".


source : http://blogiboulga.posterous.com

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 14:05
Selon la RTBF (Radio belge de langue française à destination de l'étranger), lors d'une visite d'usine, cette semaine, Nicolas Sarkozy a eu droit à un casting de choix concerne la taille des figurants à ses côtés...




Après Luc Chatel, et Brice Hortefeux, apparus récemment dans des séquences de communication gouvernementale réalisée avec trucages et sans prises risques, c'est cette fois-ci le président de la République qui tient le premier rôle. On le sait comédien-né. Le voici tête d'affiche. Nicolas Sarkozy effectuait, vite fait, son premier déplacement en province, dans l’usine Faurécia à Caligny, dans l'Orne.

Une présentation de l’entreprise, encore en grande difficulté il y a quelques mois, quelques serrages de mains d’ouvriers, un discours "puissant".
Merci, au revoir. Une visite éclair calibrée « 20 heures » comme les membres de gouvernement nous en offrent si souvent. L’exercice est devenu le lot commun de la communication gouvernementale.
A tel point, que si l’on en croît la RTBF, il relève du bidonnage complet. Ainsi, bon nombre des ouvriers seraient des ouvriers d'autres sites ayant accepté de jouer les figurants. Ils auraient même été choisis en fonction de leur taille !

Les images parlent d’elles-mêmes. Hormis les ministres qui entourent Sarkozy sur la tribune, tous les «figurants» sont calibrés « taille Sarko ».
Pas une tête ne dépasse celle du président. Les figurants auraient été amenés en car sur la zone du  « tournage » et se prêtent de bonne grâce, avec lucidité et une complicité amusée, à ce pure exercice de communication politique.
On y voit, en effet, une trentaine de salariés répéter la mise en scène avant son arrivée, des plans truqués pour donner l’impression de masse.


source : http://www.marianne2.fr
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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 05:15


«Eradiquer la délinquance», «nettoyer au Kärcher» les cités, pratiquer la «tolérance zéro» (punir la moindre incivilité) à l’égard des «voyous» et instituer la «culture du résultat» dans la police, force est de constater que ces mots d’ordre de Nicolas Sarkozy à son avènement au ministère de l’Intérieur en 2002 n’ont pas abouti. Pour la rentrée 2009, Brice Hortefeux se retrouve confronté à de mauvais chiffres de la délinquance.


Publié en août, le dernier rapport de l'Observatoire national de la délinquance (OND) fait état d'une poursuite de la hausse des violences contre les personnes (+5%) et d'une explosion du nombre de cambriolages (+12%)


Chronique d'Alba Ventura sur RTL sur le thème : Mauvais chiffres de la délinquance, un échec pour Sarkozy ?



Nicolas Sarkozy a tout fait pour incarner la sécurité, ça a toujours été son terrain de prédilection. C'est sur ce thème qu'il a fondé sa candidature en 2007. Souvenons-nous qu'il était question de "karchériser" les quartiers, de se débarrasser de la racaille. Souvenons-nous aussi que la société française n'avait pas été assez ferme, que si l'on excusait la violence, il fallait hélas s'attendre à la barbarie. Toutes ces paroles, Nicolas Sarkozy les a prononcées ces dernières années : l'insécurité, la délinquance ont toujours été son obsession. Et le discours de fermeté du ministre de l'Intérieur de l'époque avait séduit une grande partie de l'électorat puisque ce thème l'avait porté à l'Elysée, sauf que si le discours a été rassurant, eh bien il n'a pas fonctionné.

C'est ce que l'on constate année après année. Nicolas Sarkozy s'en est pris aux voyous, aux sauvageons, aux juges, aux policiers et en fin de compte, les atteintes au personnes ne cessent d'augmenter. Ça n'a jamais baissé. (...)
depuis sept ans, depuis les années au ministère de l'Intérieur, depuis la présidence de la République, eh bien ce n'est pas son idée fixe sur la sécurité qui est à mettre en cause, c'est son inefficacité.


Cela veut dire en clair que Nicolas Sarkozy est impuissant face au phénomène ?

Tout le monde est impuissant face à la violence gratuite. Tout le monde ! C'est pour ça que lorsque Brice Hortefeux demande aux forces de l'ordre de mettre un coup de collier, on dit que c'est un peu déplacé comme remarque. On sait très bien que l'on ne peut pas lutter contre la délinquance sans les effectifs qui vont avec. La décision du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux d'ici à 2012 va conduire 3.500 gendarmes et 6.000 policier à quitter leur fonction.

Est-ce qu'il y aura de nouveaux policiers ? On a vu que les pauvres cadets de la République ont failli faire les frais de la gestion budgétaire. Et puis malgré les finances désastreuses du ministre de l'Intérieur, on nous dit maintenant qu'on va ajouter des caméras de surveillance, on va passer de 20.000 à 60.000 d'ici à 2011. Ça devait déjà être fait en 2009 ! Tout ça, c'est du rafistolage. Pour chasser les délinquants, il faut des hommes, il en faut dans les forces de l'ordre, il en faut dans les tribunaux pour que les peines soient plus immédiatement appliquées, sinon, eh bien la violence aux personnes aura encore de beaux jours devant elle.


Malgré ces mauvais chiffres, Alba Ventura, la sécurité reste tout de même l'un des principaux piliers de la politique du président ?

Le thème de la sécurité, c'est ce qui fonde sa stratégie. Même si d'ailleurs Nicolas Sarkozy en a moins parlé au plus fort de la crise, il s'est toujours soucié de faire quelques petites piqûres de rappel comme le discours "le plan contre la délinquance" qu'il a prononcé au mois de mai à l'Elysée, c'était juste avant les élections européennes du mois de juin.

Les experts autour de Nicolas Sarkozy savent que ce qui fabrique du vote, ce qui incite à mettre son bulletin dans l'urne, ce ne sont pas des éléments économiques et sociaux sinon Schröder et Jospin auraient élus, NON. Ce qui fabrique du vote, c'est la sécurité, c'est l'immigration. Ce sont ces sujets régaliens et Nicolas Sarkozy n'a jamais, jamais abandonné ces thèmes-là et c'est de cette manière qu'il a, siphonné entre guillemets, une partie de l'électorat Front National au moment de la présidentielle.

(...)


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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr