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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 04:01

PPDA RACONTE SON EVICTION DU JT DE TF1




Le jeudi 10 juillet 2008 restera dans les annales de la télévision. C'est en effet hier que Patrick Poivre d'Arvor a présenté son dernier journal sur TF1. Le présentateur vedette du 20 Heures de TF1 a été viré de son fauteuil qu'il occupait depuis le 31 août 1987, après plus de 6200 journaux présentés.

On retiendra certainement de lui la fausse interview de Fidel Casto ou son impertinence face à Nicolas Sarkozy, qui n'avait pas trop apprécié que PPDA le qualifie d'"excité comme un petit garcon". Des rumeurs circulent d'ailleurs sur son eviction viendrait de ce dernier.

PPDA repartira avec une dernière édition spéciale lors de la libération d'Ingrid Bétancourt, le 2 juillet dernier

A bientôt 61 ans, Patrick Poivre d'Arvor laisse derrière lui le journal le plus regardé de France avec 8,1 millions de fidèles en moyenne depuis janvier et pourrait rebondir sur France 2 ou M6. Il sera remplacé cet été par Harry Roselmack, puis par Laurence Ferrari à la rentrée.

 

D'après : http://www.suchablog.com

 


 

 


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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 16:07

C'est la fin d'un calvaire de 2321 jours. 2321 jours qu'Ingrid Betancourt a passés dans la jungle, retenue par les Forces Armées révolutionnaires de Colombie (FARC). La Franco-colombienne avait été enlevée le 23 février 2002 alors qu'elle s'apprêtait à se présenter aux élections présidentielles colombiennes.
Créatrice du parti Oxygeno Verde et élue sénatrice en 1998, Ingrid Betancourt est, après plus de six années passées en captivité durant lesquelles elle était le symbole des otages retenus par les FARC, devue une icône de la liberté.

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27 juin 2008 5 27 /06 /juin /2008 05:22


Le projet de non remboursement de l'assurance-maladie de baisser le remboursement de certains médicaments pris en charge à 100% par la "Sécu" dans le cadre des affections de longue durée (ALD), c'est une honte.


Concrètement de quoi s'agit-il? Il s'agit de personnes qui sont dans une situation très difficile puisqu'ils ont une maladie de longue durée (cancer, VIH...) et il s'agit de ne plus rembourser leurs médicaments à 100% mais de faire passer le remboursement à 35%.

Comme l'a dit Laurent Fabius, ce gouvernement cherche "à remplacer la solidarité nationale, c'est-à-dire la Sécurité sociale, par autre chose, qui fait appel davantage au financement privé".

"Seulement si les mutuelles paient, il faudra bien que les cotisations augmentent. Et ne pourront payer ces cotisations que ceux qui auront les moyens de le payer, donc c'est une remise en cause grave de la Sécurité sociale".

Frédéric Van Roekeghem, le directeur de l'Union nationale des caisses d'assurance-maladie (UNCAM) a proposé de transférer aux mutuelles le remboursement à 100% des médicaments permettant d'atténuer les effets secondaires des traitements curatifs des patients en ALD. La "Sécu" ne rembourserait que 35% !!!

Il s’agit manifestement d’un ballon d’essai, et le gouvernement, en fonction des réactions, pourrait ne retenir qu’une partie des propositions du directeur de l’assurance-maladie.

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 08:00



Les dépenses de l'Elysée ont augmenté en 2007 de 8,4% pour atteindre 35,11 millions d’euros. En cause, les frais de personnel (+10,9%), les travaux d’entretien (+53%) et l’argent de poche du chef de l’Etat (+29%).


Les dépenses de l’Elysée ont augmenté de 8,4% en 2007 par rapport à 2006 pour atteindre 35,11 millions d’euros, a dénoncé récemment René Dosière, député apparenté PS.

Sous le titre "un budget de rupture ?", l’élu souligne dans un communiqué que la récente publication du rapport d’exécution sur l’année 2007 fait apparaître cette progression, "la plus forte depuis 2003."
"L’arrivée de Nicolas Sarkozy se manifeste par une hausse trois fois et demi supérieure à celle des dépenses de l’Etat", écrit-il. Selon René Dosière, trois postes de dépenses "explosent", à commencer par les frais de personnel (+10,9%) "par suite des nombreux recrutements effectués par Nicolas Sarkozy".


En second lieu, les gros travaux d’entretien passent de 1,9 à 3 millions d’euros, soit une hausse de 53%, ajoute le député.

Enfin, René Dosière souligne que la rémunération du président de la République a connu, dès 2007, "une première et discrète augmentation". "La dotation présidentielle - en fait l’argent de poche du président - est passée de 101.125 euros à 130.638 euros (+29%)", assure-t-il.

Le député rappelle que l’Elysée a promis pour 2008 "un budget plus complet et transparent". "On verra, dans un an, ce qu’il en sera", écrit-il

 

Information trouvée sur : http://www.challenges.fr/actualite/...


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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 09:50


Mardi, Nicolas Sarkozy assurait que la durée légale du travail resterait fixée à 35 heures. Au même moment, son ministre du Travail, Xavier Bertrand, mettait la dernière main à un texte donnant à chaque entreprise la possibilité de s’en s’affranchir.
En profitant du texte sur la représentativité syndicale pour y glisser une remise en cause de la durée du travail, le gouvernement rallume ainsi sa guerre contre les 35 heures.


Déclaration de François Chérèque, secrétaire général de la CFDT et de Bernard Thibault, secrétaire général de la CGT.


À la demande du président de la République, une négociation interprofessionnelle s’est déroulée sur plusieurs mois en vue de modifier les règles actuellement applicables en matière de représentativité syndicale, de dialogue social et de financement du syndicalisme.
Cette négociation a débouché sur la rédaction d’une « position commune » approuvée par nos organisations et deux organisations patronales.
Les nombreuses dispositions que cette position commune propose sont de nature à faire progresser la démocratie sociale pour chacun des niveaux de représentation syndicale et de négociation sociale : entreprise, branche professionnelle et interprofessionnel.
Nous attendons du gouvernement et du législateur qu’ils transposent en droit ces propositions. Le Premier ministre nous a confirmé son intention de soumettre au Parlement un projet de loi dans les prochaines semaines qui respecte l’esprit et la lettre du résultat de la négociation. C’est positif.

Concernant les dispositions applicables en matière de temps de travail, nous rappelons qu’après d’âpres négociations avec le patronat, il a été convenu de s’en tenir aux principes repris dans l’Article 17 de la Position commun. Il stipule que par accords d’entreprise conclus avec des organisations syndicales représentatives et ayant recueilli la majorité absolue des voix aux élections des représentants du personnel, il est possible à titre expérimental de dépasser le contingent conventionnel d’heures supplémentaires. Ce qui exclut toute autre disposition.
Or, depuis quelques jours, les velléités de modifier une nouvelle fois la législation sur le temps de travail se multiplient. Elles pourraient se traduire par l’adoption en catimini par le Parlement de mesures de déréglementation du temps de travail, dont la portée serait très négative pour les salariés. C’est inacceptable.
Nous attirons solennellement l’attention du Président de la République et de son gouvernement sur les conséquences qu’engendrerait un tel choix politique.
Outre le fait que les salariés et leurs syndicats seraient mis devant le fait accompli sur une nouvelle réglementation du temps de travail qui n’aurait pas été négociée, une telle attitude signifierait que le gouvernement et les parlementaires décideraient de faire fidu résultat de la négociation.

Cela ouvrirait pour nos organisations une nouvelle période dans les relations sociales avec les pouvoirs publics.
Si le gouvernement ou les parlementaires ont l’intention de modifier la loi sur le temps de travail, ils doivent dans le respect des principes introduits par la loi sur le dialogue social de janvier 2007, proposer à l’ensemble des organisations syndicales et patronales d’ouvrir une négociation sur cette question. Pour l’heure, nous attendons le respect de la position commune du 10 avril 2008. Nos organisations sont prêtes à venir en débatte avec les groupes parlementaires.


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22 mai 2008 4 22 /05 /mai /2008 20:01


Mais au fait, c'est quoi mai 68 ?

Voici un rappel des évenements :



Mai 68, terme désignant les événements survenus en France en mai et juin 1968, constitue une période et une césure marquantes de l'histoire contemporaine française, caractérisées par une vaste révolte spontanée, de nature à la fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société traditionnelle et, plus immédiatement, contre le pouvoir gaulliste en place. La crise révéla et accéléra les profondes mutations de fond de la société des Trente Glorieuses. Enclenchée par une révolte de la jeunesse étudiante parisienne, puis gagnant le monde ouvrier et pratiquement toutes les catégories de population à travers l'ensemble du territoire, elle reste le plus important mouvement social de l'histoire française.

Les événements superposèrent essentiellement un mouvement étudiant et un mouvement ouvrier tous deux d'exceptionnelle ampleur. Au-delà de revendications matérielles ou salariales, et de la remise en cause du régime gaullien installé depuis 1958, ils virent se déployer une contestation multiforme de tous les types d'autorité. La jeunesse en révolte (ou du moins une partie active du mouvement lycéen et étudiant) revendiqua notamment la « libéralisation des moeurs », et au-delà, contesta la vieille Université, la société de consommation, le capitalisme et la plupart des institutions et valeurs traditionnelles.

En France, ces événements prennent cependant une coloration particulière car de puissantes manifestations d'étudiants sont rejointes à partir du 13 mai 1968 par la plus importante grève générale de l'Histoire de France, dépassant celle survenue en juin 1936 lors du Front populaire. Elle paralyse complètement le pays pendant plusieurs semaines et s'accompagne d'une recherche effrénée de prise de parole, d'une frénésie de discussions, de débats, d'assemblées générales, de réunions informelles dans la rue, à l'intérieur des organismes, des entreprises, des administrations, des lycées et des universités, des théâtres, des maisons de jeunes ou encore des maisons de la culture.

Mai 68 apparaît comme un moment d'illusion révolutionnaire et utopique en la possibilité d'une transformation radicale de la vie et du monde. Ce que refléta notamment une prolifération de graffiti et de slogans imaginatifs restés dans la mémoire collective : « Sous les pavés, la plage », « Il est interdit d'interdire », « Jouissez sans entraves », « Cours camarade, le vieux monde est derrière toi », « La vie est ailleurs »...

Parfois qualifiée de « révolution manquée », et malgré le large recours à la rhétorique et aux symboles des révolutions françaises précédentes (barricades, drapeaux rouge et noir), Mai 68 ne vit en réalité aucune tentative de conquête du pouvoir ni aucune volonté de dérapage vers la guerre civile. Aucun coup de feu ne fut tiré et le nombre de mort avoisine une dizaine.

Les historiens divisent classiquement le déroulement de Mai 68 en trois phases, une « période étudiante » (3-13 mai), une « période sociale » (13 - 26 mai) et une « période politique » (27-30 mai).

L'éclatement spontané de la crise prit complètement au dépourvu le pouvoir, ainsi que pratiquement toutes les organisations, partis et syndicats organisés. Le camp du pouvoir ne fut pas plus uni que celui de la contestation. Le Parti communiste français et son relais syndical, la CGT, refusèrent dans un premier temps de joindre leur cause à celle des étudiants vus comme « bourgeois » et a fortiori de leurs dirigeants d'inspiration libertaire (tels Daniel Cohn-Bendit) ou issus des divers groupuscules « gauchistes ». Ceux-ci étaient souvent eux-mêmes divisés (« marxistes-léninistes » prochinois, trotskystes ...) et incertains quant à l'attitude à avoir face au mouvement. Au sommet de l'État, la crise aggrava les divergences entre le général de Gaulle, peu compréhensif envers ce qu'il qualifie le 19 de « chienlit », et partisan d'une répression immédiate, et son Premier ministre, Georges Pompidou, qui préféra jouer la carte de la modération et de la compréhension pour mieux laisser le mouvement s'essouffler de lui-même. Les forces centristes et les gauches (Pierre Mendès France, François Mitterrand) tentèrent difficilement de canaliser vers la construction d'une alternative politique au régime gaullien un mouvement largement indifférent à la question de la prise du pouvoir.

Avant comme après le rejet par la base, le 27 mai, des accords de Grenelle négociés par son Premier ministre Georges Pompidou avec les syndicats, Charles de Gaulle apparaît flottant et dépassé par les événements. Après sa disparition-surprise de 24 heures le 29 mai, il revient de Baden-Baden et reprend l'initiative en décrétant le 30 la dissolution de l'Assemblée nationale. La lassitude et le retournement de l'opinion publique, longtemps favorable aux révoltés, amènent un raz-de-marée gaulliste aux élections anticipées du 30 juin. Les grèves cesssent progressivement courant juin, et les hauts-lieux de la contestation, tels que la Sorbonne et l'Odéon à Paris, sont évacués par la police.

Mai 68 a suscité dès l'époque de nombreuses controverses et interprétations divergentes sur sa nature, sur ses causes comme sur ses héritages. Il s'est prolongé, en ouvrant la voie aux nouvelles formes de contestations et de mobilisations des années 1970 (autogestion, écologie politique, mouvements féministes, décentralisation et réveil des cultures provinciales ...). Sans débouché politique, l'événement a eu un impact considérable sur le plan social et surtout culturel, en étant à l'origine de nombreux acquis sociaux et de nombreuses réformes sociétales des années suivantes, qu'il s'agisse de la réforme de l'éducation, de l'évolution des moeurs, de l'émancipation des femmes, des jeunes, des homosexuels ou encore des différentes minorités.

D'après : http://fr.wikipedia.org/wiki/Mai_68

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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 07:24

Pierre Desproges, pitre, comique, provocateur, chroniqueur de la haine ordinaire des années 1980, est mort il y a vingt ans, le 18 avril 1988. Vingt ans, et son humour détonnant n'en finit pas d'étonner.

Mais qui était Desproges ? Journaliste, amuseur public, misanthrope, moraliste, pourfendeur de l'hypocrisie et de la médiocrité de son temps.

Pierre Desproges est né en 1939 à Pantin et n'a, de son propre aveu, rien fait d'intéressant durant les 30 premières années de sa vie. Entré par hasard au journal "L'Aurore", il y décroche une chronique de "brèves" repiquées dans les journaux, qui est bientôt la plus lue du quotidien.

L'animateur de télévision Jacques Martin apprécie son sens de l'absurde et l'intègre en 1975 dans l'équipe du "Petit rapporteur", une émission satirique vedette du dimanche.

Des millions de spectateurs découvrent alors l'humour d'un clown renfrogné qui interviewe une Françoise Sagan éberluée, à qui il réclame une verveine et montre des photos de son beau-frère en vacances.

Mais six mois plus tard, il claque la porte en plein succès. Et c'est toute sa singularité. Car Desproges a toujours revendiqué un certain "élitisme". Admirateur de Paul Léautaud et de Marcel Aymé, il appartient à l'espèce rare des comiques lettrés et préfère, dit-il, plaire à quelques personnes qui le comprennent "qu'à des millions de gens à qui (il) n'a rien à dire".

C'est le "Tribunal des flagrants délires" sur la radio France-Inter, où il joue les procureurs à partir de 1980, qui le consacre.

Provocateur épidermique, Desproges ne recule devant rien et laisse libre cours à ses détestations. Il dégomme à l'antenne "l'intelligentsia crapoteuse", les jeunes, "les humanistes sirupeux", l'armée, les politiques, les Résistants et les collabos, l'Académie, les communistes, le Pape...: "De la même façon qu'il existe un humour juif, je crois instinctivement pratiquer un humour catholique", explique-t-il.

Pierre Desproges, c'est le rebelle-réactionnaire, le misanthrope-humaniste, qui, comme le personnage principal de son unique roman, "aime trop les hommes pour les tolérer médiocres". "Un pain de dynamite dans une bonbonnière", titre L'Express en 1986 à propos de son spectacle au Théâtre Grévin.

Amoureux des mots, il a passé sa vie à écrire. A la télévision, il plonge les téléspectateurs dans la consternation ou le ravissement avec "La minute nécessaire de M. Cyclopède". On y apprend à 20H35 "Comment vieillir sans déranger les jeunes" ou "Comment ne pas sombrer dans l'antinazisme primaire".

Et il déverse sa hargne contre l'hypocrisie, la lâcheté, les préjugés ou le bon goût, dans des livres aux titres poétiques : "Vivons heureux en attendant la mort" (1983), le "Dictionnaire superflu à l'usage de l'élite et des bien nantis" (1985) ou ses "Chroniques de la haine ordinaire" (1987).

Mais Desproges sait aussi être tendre, primesautier, proche de l'enfance qu'il n'a jamais vraiment quittée. "Le drame, dit-il, c'est qu'aujourd'hui tout le monde pense la même chose d'une personne, perd son esprit critique".

Le 18 avril 1988, Pierre Desproges meurt d'un cancer à l'âge de 49 ans.

Depuis les années 1980, ses livres se sont vendus, selon son éditeur, à 3,7 millions d'exemplaires et touchent désormais toutes les générations. Le comique de l'élite, lucide, impitoyable, intransigeant, est devenu l'un des auteurs français les plus lus de ces vingt dernières années.

"Tu verras, disait-il à sa femme, j'aurai un succès posthume".


 


Lien :  http://www.desproges.fr/


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10 avril 2008 4 10 /04 /avril /2008 09:00


Le gouvernement a proposé que la revalorisation des tarifs réglementés du gaz pour les particuliers soit "limitée" à 5,5% en moyenne avant la fin du mois.

La dernière augmentation des tarifs du gaz pour les particuliers (4 %) date du 1er janvier 2008. Il s'agissait alors de la première hausse depuis mai 2006.

Ainsi le prix du Gaz va une nouvelle fois augmenter en 2008. En 2007, Gaz de France (GDF) a récolté un bénéfice net de 2,472 milliards d'euros, bénéfices essentiellement dûs à la hausse du prix du gaz pour les usagers.
GDF et ses actionnaires ne font pas assez de bénéfice ? c'est à croire qu'il faut un nouveau coup de pouce du gouvernement Fillon et un encore un effort financier à faire pour les français.

Pour rappel, les tarifs de GDF sont fixés par l’Etat. Il est donc possible de décider d’une baisse immédiate du prix du gaz qui pourrait être notamment compensée par une partie des bénéfices de GDF.

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28 mars 2008 5 28 /03 /mars /2008 12:55

thomas-beatie-homme-enceinte.jpg

Nous sommes bientôt le 1er avril mais ce n'est pas une blague : un homme est enceinte !


Aux États-Unis, un cas a fait beaucoup parler la communauté médicale depuis quelques jours. C'est Thomas Beatie, né femme qui va donner le jour à un enfant.


Thomas Beatie est officiellement un homme, mais ça n'a pas toujours été le cas. Né femme, il a effectué une opération chirurgicale et suivi un traitement hormonale lui permettant ainsi de devenir de manière officielle un homme.

Nancy, sa femme, ne pouvant avoir un enfant et dans la mesure où l'appareil génital de Thomas fonctionnait encore, il a donc cessé ses traitements et le couple a eu recours à une insémination artificielle. Néanmoins, il a dû batailler pour retrouver un cycle féminin avant de pouvoir tomber enceinte tout comme pour trouver un spécialiste voulant bien les aider, chose qu'ils ont réussis après neuf refus.

Le suivi de grossesse de cette personne (qui en est à son 5ème mois) est effectué de façon minutieuse, dans la mesure où ce cas reste évidemment exceptionnel. Le bébé dont la naissance est prévu en juillet, sera une fille.


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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 10:12

 

 

 

Chantal Sébire est morte, mercredi soir, à son domicile de Plombières-les-Dijon. Atteinte d'une maladie incurable, elle avait demandé à la justice le droit d'être euthanasiée par ses médecins. (voir article ici)

 

La situation de Chantal Sébire aura relancé le débat sur l'euthanasie active légale comme elle est pratiquée dans plusieurs pays d'Europe (Pays-Bas, Belgique, Luxembourg, Suisse).

 

Maintenant je pense qu'il faut créer une commission nationale d'euthanasie à qui reviendrait le soin d'examiner les cas exceptionnels graves.

 

Chantal Sébire voulait mourir dans la dignité, je ne peux que regretter que l'Etat ait fermé les yeux et ainsi tourné le dos à cette personne.


Toutes mes condoléances à sa famille et à ses proches.

 

 

 

 

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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr