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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 08:00

jumper.jpg

Histoire :

Adolescent transi d’amour pour la jolie Millie, David subit les brimades de ses camarades. Quand il tombe accidentellement dans un lac glacé, il découvre qu’il a le pouvoir de se téléporter. Il apprend à gérer ce don, qui va changer son existence puisqu’il décide de rompre avec son ancienne vie. Huit ans après, David est devenu riche grâce à son pouvoir : il peut dévaliser les banques en toute impunité. Il revient dans sa ville pour retrouver Millie, qui le croit mort noyé depuis l’accident. Insouciant, il l’emmène en voyage, ignorant encore qu’une organisation secrète veut sa perte.


Mon avis :

Bien que ce film du réalisateur Doug Liman (La mémoire dans la peau ; Mr & Mrs Smith) ait été plutôt mal reçu par la critique, j'ai passé un bon moment en allant le voir au ciné.
Les effets spéciaux sont très réussi, et c'est sympa de retrouver Hayden Christensen (Anakin Skywalker puis Dark Vador dans Star Wars épisodes II et III) dans un autre rôle où il y retrouve Samel L. Jackson (Le Maître Jedi Mace Windu dans Star Wars épisodes I ; II & III) dans le rôle du méchant de service.
Une suite devrait logiquement avoir lieu et je pense que j'irais la voir car il y a encore beaucoup de questions qui ne sont pas résolue dans Jumper.

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20 août 2008 3 20 /08 /août /2008 07:00


"Récemment, des individus sans aucun lien entre eux ont manifesté des dons pour le moins particuliers. Même s'ils n'en n'ont pas encore conscience, ces individus vont sauver le monde et le changer à jamais. Ce passage de l'ordinaire à l'extraordinaire ne se fera pas du jour au lendemain. Toute histoire a un début, le tome un de leur épopée commence ainsi... "


La série Heroes créée par Tim Kring suit les aventures, d’un certain nombre d’individus, en apparence ordinaires, mais qui sont en réalité dotés de capacités hors du commun : régénération cellulaire, téléportation, télépathie, visions de l'avenir...

Synopsis de la série - Saison 1 :

Le professeur Chandra Suresh défend une théorie selon laquelle, l'homme n'utiliserait que 10 % des capacités de son cerveau et que certaines personnes seraient en ce moment même en train de développer les 90 % restants et acquérir des pouvoirs comme la lévitation ou la régénération cellulaire. Les autres chercheurs ne le croient pas, il décide alors de chercher puis de rencontrer ces personnes aux pouvoirs surnaturels pour leur expliquer le phénomène qui s'exprime en eux jusqu'à ce qu'il disparaisse. Son fils (Mohinder Suresh) va alors reprendre la recherche...

À Tokyo, un Japonais (Hiro Nakamura) découvre qu'il est capable de courber l'espace-temps et de se téléporter. À New York, un artiste (Isaac Mendez) peut peindre le futur, un politicien (Nathan Petrelli) est capable de voler tandis que son frère (Peter Petrelli) a la capacité de s'approprier les pouvoirs des autres Heroes lorsqu'ils sont à proximité. À Los Angeles, un policier (Matt Parkman) découvre qu'il est en mesure d'entendre les pensées des gens. Au Texas, une pom pom girl (Claire Bennet) découvre qu'elle a le pouvoir de régénérer ses cellules à vitesse accélérée. Au Nevada, une mère célibataire (Niki Sanders) réalise qu'elle a un puissant double maléfique… Les Heroes sont partout, on en découvre de plus en plus au fil des épisodes.

Heroes est une chronique de la vie de ces personnes, de leurs liens et de leur destinée et qui essayent tous de faire face à leur nouveau et incroyable pouvoir, avant de découvrir leur véritable destinée : sauver le monde



Résumé des épisodes sur : http://www.heroes-france.com/episodes.htm


D'après : http://fr.wikipedia.org/wiki/Heroes et   http://www.heroes-france.com/serie-tv.htm



Heroes : saison 2




Pour tous ceux qui veulent se rattraper avant la Saison 3,  voici la Saison 2 de la série dans les liens ci-dessous :


Heroes saison 2 en VOSTFR

  EPISODE 01 I P01 I P02 

EPISODE 02 I P01 I P02 
EPISODE 03 I P01 I P02 
EPISODE 04 I P01 
EPISODE 05 I P01
 EPISODE 06 I   P01
 EPISODE 07 I   P01
 EPISODE 08 I   P01
EPISODE 09 I   P01
EPISODE 10 I   P01
EPISODE 11 I   P01


Information trouvée sur le blog :
http://mksniper.over-blog.net/
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13 août 2008 3 13 /08 /août /2008 06:37



L'histoire :

Le scientifique Bruce Banner cherche désespérément un antidote aux radiations gamma qui ont créé Hulk. Il vit dans l'ombre, toujours amoureux de la belle Betty Ross et parcourt la planète à la recherche d'un remède.
La force destructrice de Hulk attire le Général Thunderbolt Ross et son bras droit Blonsky qui rêvent de l'utiliser à des fins militaires. Ils tentent de développer un sérum pour créer des soldats surpuissants.
De retour aux Etats-Unis, Bruce Banner se découvre un nouvel ennemi. Après avoir essayé le sérum expérimental, Blonsky est devenu L'Abomination, un monstre incontrôlable dont la force pure est même supérieure à celle de Hulk. Devenu fou, il s'est transformé en plein coeur de New York.
Pour sauver la ville de la destruction totale, Bruce Banner va devoir faire appel au monstre qui sommeille en lui...


Mon avis :

Tout simplement énorme ! Avec un remarquable Edward Norton en Bruce Banner, ce film réalisé par le français Louis Leterrier est une vrai réussite, efffet spéciaux grandiose, bon scénario, à ne pas manquer !
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6 août 2008 3 06 /08 /août /2008 07:00

 
Charlie et la chocolatrie - Bande annonce


L’histoire :
Charlie Bucket est un petit garçon plein d'espoirs. Tous les soirs, il s'endort en admirant la façade de l'usine de Willy Wonka, chocolatier génial. Mais pour Charlie, le quotidien est difficile, surtout depuis que le père a perdu son emploi. Un jour, Willy Wonka décide de faire découvrir son usine magique, que personne n'a vue depuis des lustres, à cinq enfants du monde entier. Celui qui découvrira l'un des cinq tickets d'or que Willy Wonka a caché dans les barres de chocolat de sa fabrication gagnera une visite dans sa fabrique de chocolat. Alors que quatre d'entre eux ont été découverts, Charlie se voit offrir par ses parents l'unique barre chocolatée à laquelle il a droit tous les ans...

Mon avis :
J’apprécis vraiment beaucoup les films de Tim Burton, Charlie et la chocolatrie est selon moi un des meilleurs de ces meilleurs film (même si presque tout ces films sont excellents).
Drôle et amusant en plus d'être une leçon de vie, ce film est un véritable enchantement. Une dose phénoménale d'humour, une imagination débordante, une succession de délires en tout genre, un Johnny Deep épatant voici ce qui fait le charme de ce film destiné aux petits et grands. Dans "Charlie et la chocolatrie" qui adapté du classique de la littérature pour enfant écrit par Ronald Dahl (que je n’ai pas lu), Tim Burton arrive à nous faire redécouvrir notre âme d'enfant en nous nous plongeant dans un monde magnifique qui ne peut que nous faire rêver
Un des meilleurs films étranger de l’année 2005 si ce n’est le meilleur.
Interview de Tim Burton sur Charlie et la Chocolatrie :

Pourquoi avoir choisi d'adapter à l'écran CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE et non pas une autre nouvelle de Roald Dahl, plus noire et donc plus proche de votre univers ?

Tim Burton : J'ai lu CHARLIE ET LA CHOCOLATERIE alors que j'étais très jeune. Ce livre a eu, sur moi, une énorme influence. C'est quelque chose qui m'est resté depuis tout ce temps. Je crois que ce sont les premières choses de la vie qui nous marquent à jamais. Roald Dahl est, avec le Docteur Seusse, un des rares écrivains à avoir su s'adresser aux enfants.

Willy Wonka (incarné par Johnny Depp à l'écran) est-il la synthèse de tous les personnages excentriques que vous avez pu filmer précédemment ? Vous sentez-vous plus proche de Willy ou de Charlie ?

TB : Je travaille avec Johnny depuis EDWARD AUX MAINS D'ARGENT. Chaque fois, il essaie plein de trucs différents. Il est très brillant ! Il me fait penser à Lon Chaney, un acteur du début du siècle dernier qui aimait se transformer à chaque nouveau rôle. Il met un peu de ci et un peu ça : une pincée d'Ed Wood et un zeste d'Edward aux mains d'argent. Il s'inspire de ses expériences passées et crée un nouveau personnage excentrique. A part ça, j'espère ne pas trop ressembler à Willy Wonka. Sauf à considérer son déficit affectif et sa peur pour tout ce qui relève du contact humain. Charlie représente davantage ce vers quoi je tends. Il est d'une simplicité et d'une gravité sans équivalents. C'est sans conteste le plus grand trésor qui existe aujourd'hui en ce monde.

Quand on réalise un film pour enfants, y pense-t-on sans arrêt ou, au contraire, évacue-t-on cette dimension-là pour finalement ne faire que le film qu'on a envie de faire ?

TB : Je ne pense jamais à ça. Sûrement parce que je suis émotionnellement sous-développé (rires). Je n'ai jamais réfléchi en terme d'enfants ou d'adultes. Le roman écrit par Roald Dahl comprend différents niveaux de lecture et chacun peut y trouver son bonheur quel que soit son âge. Je n'ai jamais fait de films en fonction d'une cible.

Lorsque l'on travaille sur un film visuellement très chargé, cette richesse s'avère-t-elle contraignante du point de vue narratif ?

TB : Non, en fait cela aide beaucoup. Bien sûr, un film doit être bien fait mais pour moi, ce sont les personnages qui priment, d'autant plus quand il s'agit d'enfants. Plutôt que de les mettre devant un fond bleu pendant six mois et de leur demander de jouer dans le vide, nous avons pioché ici et là dans le livre et avons construit tout un environnement, dont certains décors à 360 degrés. Nous leur avons offert une immersion totale. Au final, les personnages y ont gagné en crédibilité. En cela, ce n'était pas une contrainte.

Dans votre film, de multiples flash-back mettent en scène Willy Wonka avec son père. Ceux-ci n'existent pas dans le livre. Est-ce là une manière d'imposer votre propre style ou s'agit-il d'une thématique qui vous est chère ?

TB : Ces séquences ne sont effectivement pas dans le livre mais nous avons pensé que, dans un film, lorsque le public voit un personnage excentrique à l'écran, il veut savoir pourquoi il est excentrique. Il a besoin de comprendre. De disposer d'un contexte. Nous avons veillé, malgré ces quelques ajouts, à garder l'humour et l'esprit du travail de Roald Dahl.

 

Liens : http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=52933.html ; http://cinema.aliceadsl.fr/ficheart.aspx?keys=AR018702&file=http&type=art
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30 juillet 2008 3 30 /07 /juillet /2008 07:01


L'histoire :

Po, apprenti serveur dans un restaurant de nouilles, rêve de combattre aux côtés des plus grandes stars du Kung Fu. Par un coup du sort, Po est élu de façon inattendue pour apprendre le Kung Fu et défendre la vallée contre la perfide Tai. Bien que simple débutant, Po ne compte pas renoncer et se donne du mal pour faire ses preuves et faire taire ceux qui doutent de lui. Il découvrira au fil de ses aventures que la plus grande de ses faiblesses pourrait bien être sa plus grande force.


Mon avis :

Dessin animé très réussis, avec beaucoup d'humour, un scénario intéressant et des personnages vraiment attachants. Je vous conseil donc Kung Fu Panda, qui, avec son histoire originale donne le sourire aussi bien aux petits qu'aux grands.



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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 06:00


Après Jorja Fox (Sara Sidle) et Gary Dourdan (Warrick Brown), les Experts doivent faire face à un autre départ de poids et pas des moindres : celui de William Petersen, alias Gil Grissom, le personnage principal de la série.

Le comédien de 54 ans, qui avait déjà fait une amorce de départ au milieu de la saison 7, quittera la série au dixième épisode de la saison 8. Après les départs de Jorja Fox (Sara Sidle) et Gary Dourdan (Warrick Brown) c'est un coup dur pour les Expert - Las Vegas.

William Petersen restera néamoins producteur exécutif des Experts et reviendra ponctuellement dans la série bien que son nom ne figura plus au générique.

Les Experts Las Vegas est l'une des série les plus regardé au monde.
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16 juillet 2008 3 16 /07 /juillet /2008 04:21

 

Réalisé par Olivier Dahan (le réalisateur de 'La môme') ce film "choc" de 2min30 d'Amnesty France, avec Didier Bourdon, Clotilde Courau, Claude Perron, met en scène les violences conjugales et incite les témoins de ces violences à réagir. En détournant les codes du muet, ce film amplifie l’horreur du silence qui entoure trop souvent les violences domestiques souligne l’importance d’oser dire "stop" pour briser ce silence insoutenable.

L'objectif de ce film, soutenu par le message final "En France, 1 femme décède tous les 3 jours suite aux violences conjugales", est de briser le silence et de casser l'idée reçue selon laquelle la violence contre les femmes ferait partie d'un passé révolu.

 

D'après : http://www.suchablog.com

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9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 07:00
pulp-fiction.jpg

En 1994, le Pulp Fiction de Quentin Trantino remportait la Palme d'Or à Cannes, retour sur ce film culte.


Palme d’or à Cannes en 1994, film culte parmi les plus culte, Pulp Fiction est devenu un film mythique. Tous les superlatifs ne suffiraient pas à dire à quel point ce film est un chef d’œuvre, à quel point il est inoubliable et grandiose. Quentin Tarantino, après Reservoir Dogs un premier film très réussit, signe pour son deuxième film seulement un chef d’œuvre. Le genre de film que l'on ne voit pas souvent. Les facteurs d'une tel perfection, sans doute déjà le casting, Uma Turman, John Travolta, Bruce Willis, Samuel L.Jackson…
Aussi la réalisation parfaite, ce système de petites histoires, qui au final n'en font qu'une et qui s'entrecroise pour se donner du sens. Aussi, les clichés (La fièvre du samedi soir par exemple, avec la désormais mythique scène de danse entre Travolta et Turman). La musique de ce film avec le célébrissime "Misirlou" générique du début ou bien le superbe "Girl, you’ll be a woman soon" du groupe Urge Overkill. Et puis enfin: l'esprit du film, Tarantino est sans doute l'un des plus grand cinéaste de notre époque et avec Pulp Fiction, il s'imposa définitivement, on retrouve dans ce Pulp Fiction l'esprit de Reservoir Dogs, cet esprit cynique, cet humour extrêmement noir, ce monde dépourvu de tout idéologie du bien. Car dans Pulp Fiction, la violence, sans être gratuite, n'est en aucun cas dévouer au bien, tous les personnages sans exception sont mauvais, des mafiosos, des dealers...
Pulp Fiction est pour moi un film culte, un chef d’œuvre inoubliable qui restera un de mes films préféré.


L’histoire de Pulp Fiction :*
Au départ, trois intrigues principales s’entrecroisent :
- un jeune couple paumé (Tim Roth et Amanda Plummer) est sur le point de dévaliser un petit snack.
- un boxeur (Bruce Willis) sur le déclin va livrer son dernier combat. Un gangster un peu véreux (Ving Rhames) l’enjoint à se coucher contre monnaie sonnante et trébuchante.
- Un duo d’hommes de main (John Travolta et Samuel L Jackson) va régler son compte à trois dealers de petite envergure qui ont essayé d’arnaquer leur boss.
Jusque là, c’est assez simple. Là où ça se complique évidemment, c’est que les personnages se rencontrent et interagissent entre eux. S’additionnent également l’épouse du gangster complètement junkie (Uma Thurman), la petite amie du boxeur (Maria de Medeiros), des prêteurs sur gage SM (euh… "Sadic Cop" et "Black Beard Nasty"), un dealer rangé (Eric Stolz) et sa femme piercée (Rosanna Arquette), un mystérieux faiseur de miracles (Harvey Keitel).
1) L’esprit « série B »
Quentin Tarantino ne cesse de crier sur tous les toits qu’il regarde trois films « série B » tous les jours de sa vie. Une série B se caractérise par un esprit loufoque, du grotesque assumé et des délires inoubliables. En gros, ce n’est pas un film « sérieux », mais un gros n’importe quoi contrôlé (quoi que…). D’un autre côté, les séries B ont au moins le mérite d’avoir des fans hardcore, rentrés dans le délire, et connaissant les répliques cultes par cœur. Dans un sens, « Les Tontons Flingueurs » m’a toujours fait penser à LA série B française ultime. Disons que la plus connue est certainement le «Rocky Horror Picture Show», bien connu des cinéphiles fans de GROS n’importe quoi. Bref, Pulp Fiction se présente également sous l’étiquette « Série B ». Ce qui donne lieu donc à des gros délires, à condition donc que l’on rentre bien dans l’esprit du film.
2) Des situations improbables
Ne nous le cachons pas, ce film tient si bien debout grâce à un scénario en béton armé. Le fil de l’histoire n’est pas trop chronologique (sinon, tout le monde comprendrait tout du premier coup, pas drôle !) et les entrecroisements défilent à vitesse grand V. Résultat, un personnage mourant au milieu du film est encore vivant 10 minutes après. Les situations ne sont pas forcément si improbables que ça si vous avez déjà regardé des films de gangster, ou de boxeur paumé, ou de dealers, mais disons que Tarantino rajoute un je-ne-sais-quoi de délire supplémentaire dans les situations pour leur donner un esprit irrésistiblement délirant. Le gangster récitant un psaume avant de dessouder ses victimes, le boxeur et le gangster aux prises avec des prêteurs sur gage SM, la « course poursuite » précédant cet épisode entre le boxeur et le gangster victimes d’un accident de voiture, le twist entre Miss Marcellus Wallace et Travolta, avec Mr Chuck Berry à la baguette… Ainsi, le film regorge de situations carrément délirantes.
3) Des dialogues cultissimes
C’est un euphémisme ! Le film est basé sur le scénario et les dialogues. Tarantino sait écrire des dialogues vraiment cultes, parfois drôles, parfois intenses, mais souvent drôles, en fait. Alors, la fameuse discussion sur le cunnilingus, la réplique "SM de mes deux qui va salement morflé avec mes deux junkies super féroces" et d’autres, c’est de l’or en barre. Et puis surtout, ne l’oublions pas, les acteurs de film sont vraiment excellant. Qu’ils parlent ou qu’ils ne parlent pas. Leurs attitudes, la manière qu’ils ont de réagir physiquement aux répliques de leur interlocuteur (style Bruce Willis face à Marcellus Wallace, ou Travolta face à Uma Thurman) font qu’on rentre encore plus dans le délire. Je ne sais pas comment Tarantino a motivé ses acteurs pour les faire apparaître si particulièrement à l'écran, mais il s'y est bien pris.
Bref si vous n’avez pas encore vu Pulp Fiction courez le louer ou l’acheter !!!
*D’après : http://www.ciao.fr/Pulp_fiction
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2 juillet 2008 3 02 /07 /juillet /2008 07:00
 
Le contrôle de police, réalité de la banlieue, vue par Abdellatif Kechiche dans le film L'Esquive, césar du meilleur film français 2005.
esquive.jpg


L'Esquive d’Abdellatif Kechiche a remporté quatre César en 2005 : meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario, meilleur espoir féminin (Sara Forestier).

L'histoire :
Abdelkrim, dit Krimo, quinze ans, vit dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Il partage avec sa mère, employée dans un supermarché, et son père, en prison, un grand rêve fragile : partir sur un voilier au bout du monde.
En attendant, il traîne son ennui dans un quotidien banal de cité, en compagnie de son meilleur ami, Eric, et de leur bande de copains. C'est le printemps et Krimo tombe sous le charme de sa copine de classe Lydia, une pipelette vive et malicieuse...



Mon avis :


Lors de ma formation d'éducateur, j'ai eu la chance de voir l'esquive avant que celui-ci ne soit césarisé.
J'ai eu un avis très positif sur ce film et je pense que s'il ne l'est pas encore il deviendra un film culte.

Avec ce portrait d’adolescents qui se cherchent et se trouvent à travers le théâtre, Abdellatif Kechiche confirme l’acuité de son regard. Après LA FAUTE A VOLTAIRE, son excellent premier film consacré au parcours d’un sans-papiers à Paris, le réalisateur a posé sa caméra au cœur d’une cité.

Avec ce portrait d'adolescents qui se cherchent et se trouvent à travers le théâtre (ici le jeux de l’amour et du hazard de Marivaux), Abdellatif Kechiche à réalisé un film que l’on peut déjà qualifier de culte.

Il y observe avec beaucoup de tact mais sans complaisance les tourments de la jeunesse, et évite tous les clichés trop souvent de mise quand il s'agit de la banlieue. Ici, place à la poésie des mots et à la grâce des sentiments. Abdellatif Kechiche nous entraîne dans un marivaudage plein de tendresse autour des "jeux de l'amour et du hasard", auquel des ados terriblement attachants donnent une étonnante modernité. La principale violence que décrit le réalisateur est celle des sentiments, ceux qu'éprouve Krimo pour la jolie et impétueuse Lydia, et ceux des potes du jeune garçon, qui ne comprennent pas son attitude.

Derrière le langage et l'agressivité apparente de ces jeunes gens se cache en fait un trop plein d'émotion et de pudeur, ainsi que la difficulté à s'affirmer dans une société qui ne leur fait pas de cadeau. Mais attention, L'ESQUIVE n'est pas un pensum social, loin de là ! Il s'agit au contraire d'une oeuvre énergique et positive autour de sentiments universels. Une histoire simple, magnifiée par de jeunes acteurs remarquables et enthousiasmants, au premier rang desquels il faut absolument citer Osman Elkharraz et surtout Sara Forestier, la jeune interprète de Lydia, grande révélation du film qui,
avec son énergie et sa personnalité a certainement une grande carrière devant elle .

Véritable plaidoyer pour le droit à l'amour et à la culture, L'ESQUIVE est un film intense et vibrant.

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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 07:05



Pour la 24e année consécutive, le cinéma est en fête dans toute la France avec La Fête du Cinéma les dimanche 29, lundi 30 juin et mardi 1er juillet 2008.


Alors qu'il fallait jusqu'à présent acheter sa première place au tarif plein de la salle pour pouvoir obtenir le fameux carnet-passeport, celui-ci sera désormais donné pour l'achat d'une place au tarif en vigueur de la séance.
Ainsi, les spectateurs bénéficiant habituellement d'un tarif réduit (étudiants, moins de 12 ans, séniors, cartes d'abonnement...) pourront continuer à en profiter, un carnet passeport leur étant remis lors de l'achat de leur première place à ce tarif (lorsqu'il est en vigueur).
En 2008 également, La Fête du Cinéma dure encore plus longtemps puisque les carnets-passeports seront remis aux caisses des cinémas dès la première séance du dimanche matin (dans les salles ouvertes à cet horaire) au tarif habituel appliqué.

Sur présentation du carnet-passeport, toutes les places suivantes restent à 2 euros seulement, pendant les trois jours de l'opération.

Organisée par la Fédération Nationale des Cinémas Français avec BNP Paribas, La Fête du Cinéma est l'un des événements les plus populaires du calendrier cinématographique. Près de 3 millions d'entrées ont été réalisées lors de l'édition 2007. Elle aura lieu partout en France, dans tous les cinémas participants, du dimanche 29 juin au mardi 1er juillet 2008.



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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr