Le ministre de l'écologie, Jean-Louis Borloo, 59 ans, est annonçé à Matignon après la réforme des retraite. François Fillon serait ainsi "remercié" par Nicolas Sarkozy.

Selon "Les Echos", la nomination de Jean-Louis Borloo entrainerait un jeu de chaises musicales : François Fillon pourrait obtenir la présidence de l'Assemblée nationale tandis que Bernard Accoyer pourrait faire son entrée au gouvernement. Alain Juppé est également annonçé comme ministre de l'écologie à la place de Jean-Louis Borloo et Christine Lagarde ou Claude Géant au Quai d'Orsay à la place de Bernard Kouchner.

Ancien de l'UDF, vice-président de l'UMP, président des Radicaux mais aussi ancien avocat et ami de Bernard Tapie, l'ancien Maire de Valenciennes, Jean-Louis Borloo a une image plus "modéré" et disons le un côté plus sympa que la droite dur qui sévit actuellement.

Néanmoins, je l'imagine mal appliquer la politique sécuritaire du gouvernement, d'ailleurs, je ne me rappel pas l'avoir entendu concernant le discours de Grenoble de Sarkozy où ce dernier méla notamment immigration et délinquance ainsi que sur le sort des Roms où des sans papiers. De toute façon il n'aura pas le choix et devra appliquer la politique voulue par Sarkozy.

Pour le plaisir une vidéo du peut être futur premier ministre qui doit être "Fan" de l'apéro sur Facebook :) :

Plus que jamais dans une stratégie de conquête de l’Elysée en 2017, Jean-François Copé lorgne désormais sur la direction de l’UMP, jugeant la "réorganisation" du parti et la création d’une "véritable dynamique" indispensables pour la réélection de Nicolas Sarkozy en 2012.

Copé, l'homme qui disait que la salaire moyen d'un français été de 4000 eurosveut ainsi prendre la place de Xavier Bertrand.

Selon une source parlementaire, "l’OPA de Copé n’est peut-être que du bluff pour empêcher un autre prétendant, François Fillon, de s’emparer de l’UMP. Car en réalité, le problème, ce n’est plus Bertrand pour Copé, c’est bien Fillon, qui vise aussi l’Elysée en 2017 et troquerait donc bien Matignon pour l’UMP".

Cette concurrence pousserait donc le président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale à accélérer son calendrier, lui qui ne se voyait jusque-là à la tête de l’UMP qu’après la présidentielle de 2012.

L'après Sarkozy a déjà commençé à l'UMP !

De mon côté je pense qu'après 2012, Jean-François Copé sera le nouveau patron de la droite.

lien : http://www.lcpan.fr/

Amine-Benalia-Brouch, le jeune militant visé par une insulte raciste de Brice Hortefeux lors du dernier campus d'été de l'UMP, quitte ce parti.

Il l'a annoncé hier sur Facebook et à l'AFP : «J'en ai ras le bol de cette politique menée par le gouvernement. J'en avais déjà marre avec le débat sur l'identité nationale, puis avec l'arrivée à l'UMP de Philippe de Villiers, mais là avec les Roms, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase».

«J'abandonne l'UMP, j'abandonne Nicolas Sarkozy, sans tristesse mais avec une grande joie», a ajouté le militant qui a rejoint l'UMP pour la présidentielle de 2007. «Je déteste cette politique qui consiste à monter les Français les uns contre les autres pour gouverner», a poursuivi le jeune homme à propos de la politique menée par Brice Hortefeux.

Amine Benalia-Brouch a expliqué avoir décidé de «rejoindre Dominique de Villepin». «C'est un homme de coeur. Il n'a jamais été élu. Il a toujours été dans l'ombre de quelqu'un, mais il a dit non à la guerre en Irak et il a été dans l'ombre de Jacques Chirac et ça me va très bien».

Lors du dernier campus de l'UMP en septembre 2009, Brice Hortefeux avait plaisanté avec Jean-François Copé notamment sur l'origine du jeune militant. «Quand il y en a un ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes», avait-il lancé à une assistance hilare. Sauf que la scène a été filmée par un journaliste de Public Sénat, ce qui a créé une énorme polémique. Suite à ces propos, en juin dernier, le ministre de l'Intérieur a été condamné pour injure raciale. A l'époque en tout cas, le jeune militant avait défendu le ministre.

Ce départ a tout d'un symbole négatif pour le parti majoritaire, qui tente de contrer les critiques virulentes sur sa politique sécuritaire, durcie par Nicolas Sarkozy en personne au coeur de l'été, avec notamment sa proposition de déchoir de leur nationalité des personnes d'origine étrangères.

source : http://www.20minutes.fr

Benjamin Lancar,24 ans est conseiller régional d'Ile de France et actuel président des jeunes de l'UMP.

Il est aussi celui qui a rendu le plus ridicule l'UMP cette année..

Il a fait jouer de nombreux responsables de la majorité dans un lip-dub d'anthologie, qui a condamné le mouvement conservateur à payer plus de 30 000 euros pour avoir utilisé sans autorisation la chanson "Tous ceux qui veulent changer le monde", le tout en pleine polémique sur HADOPI.

Récemment il s'est fait taper sur les doigts pour s'être plus qu'un peu trop lâché sur Beur FM.

Sans compter de nombreuses bourdes comme cette soirée avec alcool pour mineurs organisée juste après le vote de la loi Bachelot réprimant la vente de boissons alcoolisées pour les moins de 18 ans.

Avec tout cela, il veut se représenter a la présidence des jeunes populaires qui aura lieu en août.

Il faut l'aider à continuer son action qui discrédite l'UMP !

Soutenons Benjamin Lancar !

source : http://www.romainblachier.fr

lien : http://tempsreel.nouvelobs.com

Lors d'un meeting pour les élections régionales, la ministre de l'Outre-mer, Marie-Luce Penchard, qui est numéro deux sur la liste UMP dans cette région a dit : «je n'ai envie de servir qu'une population, c'est la population guadeloupéenne».
Ces propos déclenchant un grand émoi outre-mer, notamment à La Réunion, où ses derniers ont été rapportés par le site antennereunion.fr.


Auparavant, la ministre de l'Outre-mer avait affirmé dans son discours: «Il y a des enjeux financiers considérables, nous en sommes à une enveloppe de plus de 500 millions d'euros aujourd'hui pour l'outre-mer». «Et ça me ferait mal de voir cette manne financière quitter la Guadeloupe au bénéfice de la Guyane, au bénéfice de la Réunion, au bénéfice de la Martinique, et de me dire, enfant de la Guadeloupe, je ne suis pas capable d'apporter quelque chose à mon pays, mais à quoi je sers ?», ajouta-t-elle.


Ces propos sont ne sont pas seulement maladroit mais tout simplement inadmisible de la part d'une ministre qui censée être en charge de tout l'outremer, c'est-à-dire de onze collectivités et non d'une seule.

Marie-Luce Penchard est coupable ici d'un délit de favoristisme évident.


Vidéo à voir ici