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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 07:23



Histoire :

Robert Neville était un savant de haut niveau et de réputation mondiale, mais il en aurait fallu plus pour stopper les ravages de cet incurable et terrifiant virus d'origine humaine. Mystérieusement immunisé contre le mal, Neville est aujourd'hui le dernier homme à hanter les ruines de New York. Peut-être le dernier homme sur Terre... Depuis trois ans, il diffuse chaque jour des messages radio dans le fol espoir de trouver d'autres survivants. Nul n'a encore répondu.
Mais Neville n'est pas seul. Des mutants, victimes de cette peste moderne - on les appelle les "Infectés" - rôdent dans les ténèbres... observent ses moindres gestes, guettent sa première erreur. Devenu l'ultime espoir de l'humanité, Neville se consacre tout entier à sa mission : venir à bout du virus, en annuler les terribles effets en se servant de son propre sang. Ses innombrables ennemis lui en laisseront-ils le temps ? Le compte à rebours touche à sa fin...


Mon avis :

L'ambiance qui se dégage de ce film est unique. Voir la ville de New York totalement deserte est vraiment impréssionnant. Le scénario est très bon et nous maintient en haleine du début à la fin. Will Smith est vraiment excellant et certaines scènes sont vraiment prenante, notamment sa relation avec son chien.
Je suis une légende
et une réussite.




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commentaires

S
Bonjour, Le problème de "Je suis une Légende" est surtout de ne pas avoir su<br /> s'affranchir de son héritage romerien pour offrir un film de zombies à<br /> la symbolique bien fade en regard du roman original. Le bouquin de Matheson questionnait le lecteur sur la notion de<br /> normalité et de monstruosité sur la thématique du "Qui sont les<br /> véritables monstres ?". Romero a fait de même avec sa saga, plaçant des<br /> zombies en place des vampires. Ici, Francis Lawrence ne soulève aucune réflexion intéressante et ne<br /> propose qu'un divertissement bien peu satisfaisant à côté du remake de<br /> Zack Snyder ("L'Armée des morts") ou de la saga initiée par Danny Boyle<br /> ("28... plus tard"). En outre, l'aspect numérique des infectés est peu<br /> convaincant et la destinée de Neville en totale contradiction avec le<br /> roman. On peut s'éloigner de ses inspirations pour offrir une œuvre plus<br /> personnelle. Romero l'a fait sans problème avec sa "Nuit des<br /> morts-vivants" (qui s'inspirait déjà du livre de Matheson). Mais il<br /> aurait été beaucoup plus honnête alors de baptiser le film autrement, à<br /> l'instar de Boris Sagal et de son "The Omega Man" (le film de Lawrence<br /> y reprend d'ailleurs la symbolique christique). Et si Lawrence propose<br /> un film plus agréable que celui de Sagal (qui n'a que peu d'intérêt<br /> aujourd'hui, si on excepte la présence de Charlton Heston), il propose<br /> aussi une adaptation très mauvaise du livre. Pour l'instant, l'adaptation officielle la plus convaincante est de<br /> loin "Last Man on the Earth" avec Vincent Price ; même si je préfère la<br /> variation libre de Romero et sa saga des morts-vivants... Amicalement, Shin. PS: La version alternative de film de Francis Lawrence offre néanmoins un compromis intéressant, à défaut d'être parfait.
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G
Une réussite en effet, et à mon avis la meilleure adaptation du roman de Richard Matheson, malgré les qualités des deux précédentes (avec Vincent Price et Charlton Heston).
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A propos de l'auteur

Arnaud MOUILLARD

 

Educateur Spécialisé.

 

Ancien jeune correspondant au journal l'Humanité.

 

Blogueur membre du collectif de blogueur de gauche #LeftBlogs.

 

RDV sur mon nouveau Blog : http://arnaudmouillard.fr

 

contact : hern276@yahoo.fr